1. Les meilleures choses ont une fin


    Datte: 11/02/2018, Catégories: fh, ff, Humour fantastiqu, Auteur: Jeff169, Source: Revebebe

    ... fond de vérité, et j’ai entendu parler d’une tante parisienne de Tiphaine. Sait-on jamais qui rencontrera qui un jour ?
    
    Maintenant, on se tient les mains en se regardant dans les yeux. Elle me plait toujours autant, les lèvres charnues de sa petite bouche sensuelle m’excitent quand je repense à combien elle m’a câliné cette nuit. Quand j’y songe, c’est la première fois que Laurence jouit comme ça dans mes bras, ça perturbe un peu mon ego de mec quand même.
    
    Là, je plonge son visage dans ma touffe et lui caresse le clitoris, voilà qu’elle se met à gémir sans retenue !
    
    — Tu restes ce soir ? demande-t-elle comme une enfant en quête d’un bonbon.
    — Oui, oui, ta copine rentre quand ?
    — Ben, lundi soir je crois. Elle débarque directement de sa province pour arriver à son boulot.
    — Bon alors je reste aussi demain si tu veux bien.
    — Chouette, chouette !
    
    Elle me regarde de ses yeux brillants comme si j’étais le Père Noël et voilà que ça recommence, je sens qu’elle me fait mouiller. C’est pas possible cette nouvelle manie. Avant je ne bandais pas comme ça, à tout bout de champ. Il va falloir que j’ai une conversation avec Tiphaine, qu’elle me dise franchement si c’est dans ses habitudes d’être comme ça !
    
    ***
    
    La salle de cinoche est au trois quarts vide. Ça arrive, lors d’une reprise. Forrest Gump, quand même ! Mais c’est peut-être normal pour la première séance du dimanche après-midi.
    
    Laurence est en jogging. Elle qui est tout le temps décontractée, le dimanche, ...
    ... c’est pareil. De grosses tennis montantes, le jogging gris qui lui moule bien ses petites fesses. Elle a un collant dessous, a-t-elle répondu quand je lui ai demandé si elle avait pas froid. Au dessus : tee-shirt, pull ample et gros anorak molletonné.
    
    J’ai une jupe en velours, couleur marron, teintes chaudes pour l’hiver. Finalement, je me suis résolue à quitter les fringues unisexe, mais je ne me sens pas trop à l’aise. Heureusement que les bottes assorties n’ont pas trop de talon. J’ai mis mes nouveaux sous-vêtements, il me vont comme un gant, mais ce coup-ci on pourrait dire comme un bonnet. En tout cas je plais bien à Laurence et c’est le principal.
    
    Au Vietnam, Forrest se conduit en héros, Laurence pose sa tête sur mon épaule, on se serre pour se tenir au chaud, les mains mêlées, planquées sous les anoraks posés façon couverture pour grand-mère.
    
    Au moment où Forrest est présenté au président des États-Unis, je glisse ma main entre ses jambes, m’insinue entre le collant et le jogging, bien au chaud et songe que la température va monter.
    
    Au moment où une tempête fait rage et coule tous les crevettiers, sauf celui de Forrest, ma main s’enhardit pour me glisser sous les couches de tissu, pour s’insinuer au milieux des poils lissés, tassés par les vêtement. J’avance très lentement pour ne pas tirailler la forêt, je me pose en douceur près du petit bouton, le voilà, doucement, on ne bouge plus, la tempête est finie, tout est calme.
    
    Forrest Gump court à n’en plus ...
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