La vengeance d'une femme trompée
Datte: 17/11/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
vengeance,
strip,
intermast,
pénétratio,
occasion,
Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe
... cherchait. Une mélodieuse musique envahit bientôt la pièce. Nous dégustâmes notre café tout en l’écoutant. Pour ma part, j’étais beaucoup trop distrait par les jolies cuisses de Karine, sur lesquelles mon regard revenait sans cesse, pour apprécier cet univers musical. Des pensées de plus en plus osées m’assaillirent bientôt : j’imaginais Karine écartant les jambes, me montrant ostensiblement son entrecuisse. Dans mes fols désirs, elle ne portait pas de culotte et elle m’exhibait son sexe nu, elle me l’offrait. Excité par mes rêves érotiques autant que par ce qu’elle me montrait, je commençais à sentir mon sexe se raffermir.
Un changement de musique la fit réagir :
— Oh. « Elle, tu l’aimes », d’Hélène Segara. J’adore cette musique ! Tu me fais danser, mon chéri ?
— Humm… Pourquoi pas !
Fabrice, à demi ivre, se leva avec difficulté et eut toutes les peines du monde à trouver son équilibre. Il attira sa femme à lui, ils s’enlacèrent et entamèrent un slow langoureux. Lui, la tenait d’une main par la taille et de l’autre par les fesses. Elle, s’était suspendue à son cou et je me dis alors que j’aurais bien aimé être à la place de mon copain. D’où j’étais, je pouvais voir le corps gracile de Karine onduler au rythme de la musique ce qui n’arrangeait pas mon érection. Encore deux minutes à ce régime et j’allais arborer une bosse difficilement dissimulable. Ma queue était en effet alors aussi raide que si la main de Karine elle-même l’eût masturbée.« Arrête de fantasmer ! ...
... » me dis-je.
Mais Fabrice en eut bientôt assez de danser et retourna s’asseoir, plantant sa femme au milieu de la pièce.
— Déjà ! se plaignit-elle.
— J’en peux plus, dit Fabrice dans un souffle… Je crois que j’ai un peu trop bu… Mais danse avec Olivier.
— Puisque mon mari me lâche, voulez-vous me servir de cavalier ? me demanda-t-elle, mutine.
Jamais demande ne fut plus douce à mes oreilles et, me levant en essayant de dissimuler au mieux mon trouble, je lui déclarai :
— Qui pourrait rêver d’une aussi belle cavalière ?
Arrivé au milieu de la pièce, je pris Karine, posant une main sur sa taille et l’autre sur son épaule nue. J’eus la surprise de la voir se suspendre sans complexe à mon cou, exactement comme elle l’avait fait avec son mari une minute auparavant, ce qui contraignit nos deux corps à un contact serré. J’aurais pourtant souhaité, au moins dans un premier temps, ne pas trop la coller dans l’état d’excitation dans lequel je me trouvais déjà. Raté. Nous étions collés l’un à l’autre et mon érection ne pourrait lui échapper bien longtemps. Elle s’abandonna en posant sa tête sur mon épaule. J’avais ses jolis cheveux châtains, subtilement parfumés, à deux centimètres de mes narines. Enivré, je m’abandonnai à mon tour, laissant en définitive libre cours à mon érection encore renforcée par le contact de son bas-ventre. Je me demandai même si elle ne faisait pas exprès de me coller.
Alors, comme vous pouvez vous en douter, cher lecteur(trice), je voulus ...