La vengeance d'une femme trompée
Datte: 17/11/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
vengeance,
strip,
intermast,
pénétratio,
occasion,
Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe
... dessous !
L’intéressée n’apprécia que modérément cette plaisanterie, il est vrai un peu lourde, et qui pouvait même passer pour du harcèlement sur un lieu de travail. Elle se contenta de hausser les épaules et ressortit aussitôt du bureau. Il faut préciser que Fabrice et moi étions les seuls à partager ce bureau, c’est pourquoi nous ne nous gênions pas d’avoir de temps en temps des « conversations d’hommes » qui ne faisaient pas dans la dentelle !
Ainsi, quand Virginie fut partie, Fabrice s’esclaffa :
— Celle-là, j’la verrais bien au bout de ma queue, pas toi ?
— Ça, je dois reconnaître qu’elle est vraiment bandante, répondis-je.
— Eh bien, qu’est-ce que t’attends, toi, le nouveau célibataire ?
— Je crois savoir qu’elle n’est pas seule…
— Et alors… je suis sûr qu’elle ne demande que ça, la salope !
Parler des femmes sur ce ton détaché et désinvolte, les considérer comme de simples objets de plaisir me faisait du bien. Ça me détendait, ça me permettait d’oublier et sûrement aussi d’assouvir un désir refoulé de vengeance envers elles. Bref, je reprenais pied dans le monde des vivants et redevenais un homme prêt à goûter à tous les plaisirs de la vie.
— Je te sens plus détendu, me dit un jour Fabrice. J’ai l’impression que tu vas mieux.
— C’est vrai. Je remonte la pente tout doucement…
— Bon alors, quand est-ce que tu viens manger à la maison, coupa-t-il ?
Ce que j’avais toujours refusé jusqu’alors, je l’acceptai cette fois de grand cœur, bien décidé à ...
... tirer définitivement un trait sur le passé et heureux à l’idée de passer un bon moment avec mon meilleur copain. Ainsi, nous prîmes rendez-vous pour une soirée de la semaine suivante.
Quelques jours plus tard, me voilà marchant tranquillement sur ce trottoir parisien, encore très animé en cette soirée de fin d’été, en direction de chez mon copain. J’étais un peu en avance, aussi flânais-je sans empressement, profitant des derniers rayons d’un soleil rougeoyant. Tout en marchant, je me fis la réflexion que je ne connaissais pas grand-chose de Fabrice et de sa vie privée. Je savais qu’il était âgé d’une petite quarantaine, comme moi, qu’il était marié et qu’il avait un enfant en bas âge, mais c’était à peu près tout. Nous ne nous fréquentions que sur notre lieu de travail, ainsi qu’au restaurant et à la salle de sport d’à côté. Mais nous n’étions jamais vraiment sortis ensemble en dehors du cadre professionnel.
Approchant de son immeuble, je fis un petit détour par une rue commerçante où j’espérais trouver un fleuriste. J’avais bien dans mon sac une bouteille de champagne que je comptais offrir à Fabrice, mais je n’avais rien pour la maîtresse de maison. J’avisai un petit fleuriste de quartier et y entrai. L’étroite boutique regorgeait de bouquets et de présentations de toutes sortes couvrant les étagères et le sol, à tel point qu’il était difficile de se frayer un passage. Indécis et même embarrassé, je tournai longuement dans la minuscule boutique à la recherche d’une ...