La vengeance d'une femme trompée
Datte: 17/11/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
vengeance,
strip,
intermast,
pénétratio,
occasion,
Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe
Depuis quelques jours seulement je commençais enfin à reprendre goût à la vie. L’épreuve difficile que je venais de traverser m’avait considérablement ébranlé et il m’avait fallu plus de trois mois avant de pouvoir reprendre le dessus. Une séparation est toujours très dure à vivre, elle est vécue comme un terrible échec, un gâchis absolu… à plus forte raison quand c’est l’autre qui part. Lorsque mon épouse, Valérie, m’a quitté, ça a été pour moi un véritable séisme : le monde s’est écroulé autour de moi. Toutes mes certitudes sur la vie et sur l’amour, tous ces genres de conneries, se sont effondrées comme un château de cartes. Près de six ans de vie commune et puis plus rien. Le grand vide ! Oh, je ne lui en veux pas ! Probablement que je n’ai pas été un mari suffisamment attentionné, probablement que je ne l’ai pas assez aimée, ou pas comme elle l’aurait voulu. J’ai beaucoup culpabilisé ; on doit sûrement toujours se sentir responsable quand ce genre de catastrophe vous tombe sur les épaules.
Heureusement que nous n’avions pas d’enfant. Nous avions toujours déploré ne pas parvenir à en avoir, mais à ce moment-là, je m’en félicitais. Sinon cette séparation eût été encore plus terrible à vivre !
Fabrice, mon collègue de travail, qui était aussi devenu l’un de mes meilleurs amis, s’était bien rendu compte que quelque chose ne tournait pas rond chez moi. Quand je lui appris ma séparation, il n’en fut pas surpris et m’avoua avoir pensé qu’il ne pouvait y avoir qu’une « ...
... histoire de femme pour me mettre dans de pareils états ». Dans ces moments-là, les amis sont des soutiens indispensables et Fabrice fut l’un des premiers à me lancer une bouée de sauvetage en me proposant d’emblée de venir passer une soirée chez lui. « Ça te changera les idées » m’avait-il dit.
Seulement voilà, c’était encore trop tôt et je ne me sentais pas prêt. J’avais encore besoin d’être seul pour faire le point, pour gamberger, pour ruminer ma tristesse et pour pleurer celle qui avait tant compté pour moi. Mais je suis d’un tempérament plutôt optimiste et après avoir touché le fond, il y a toujours un moment où je rebondis, un moment où ma soif de vivre reprend le dessus.
Une fois passée cette période dépressive, je repris donc peu à peu le chemin de la raison et un beau jour je décidai de sortir de chez moi, de voir à nouveau du monde, d’aller au restaurant, au cinéma et pourquoi pas, de m’ouvrir à l’inconnu. Je trouvais d’ailleurs les femmes de plus en plus belles, ce qui était un signal très positif pour moi, et je laissais de plus en plus souvent mon regard vagabonder sur de jolies jambes ou dans un profond décolleté.
Au bureau, Fabrice avait bien remarqué ma soudaine transformation et n’hésitait pas à l’encourager. Un jour que Virginie, une charmante secrétaire aux formes très suggestives, vint déposer un dossier sur mon bureau, il la plaisanta :
— Tu ne devrais pas venir ici avec une jupe aussi courte, lui dit-il… Mes mains me démangent de glisser en ...