La vengeance d'une femme trompée
Datte: 17/11/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
vengeance,
strip,
intermast,
pénétratio,
occasion,
Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe
... Libre d’aller où tu veux, quand tu veux. Libre de courir le guilledou… Quelle chance tu as. Tu vas pouvoir faire des folies de ton corps !
— À toute chose, malheur est bon. Il est vrai que je savoure ma liberté retrouvée et que je prends à nouveau plaisir à regarder les jolies femmes, dis-je en tournant mon regard vers Karine.
— Les jolies femmes ne sont pas forcément libres, me rétorqua-t-elle malicieusement.
— Est-il nécessaire d’être libre pour se laisser courtiser ? répondis-je sur le même ton.
— Wouah ! Mais vous êtes un redoutable séducteur, Olivier, fit-elle toujours avec ce petit sourire malicieux… Mon mari devrait se méfier de vous.
— On n’a à se méfier que lorsque sa femme est infidèle, reprit Fabrice.
— Alors toi, tu ne manques pas de toupet, s’écria-t-elle. Tu ne trouves pas que tu es particulièrement mal placé pour parler de ça !
Fabrice parut tout à coup très gêné et se mit à rougir légèrement.
— … Décidément, les hommes ont la mémoire bien courte.
— Ouais… C’est vrai. J’ai raté une occasion de me taire !
Je le regardai d’un air interrogateur, me demandant bien ce qui avait pu se passer. Fabrice aurait-il trompé sa femme ? Il ne m’en avait pourtant jamais parlé. En tout cas je n’en sus pas plus et Karine enchaîna :
— Bien. Si l’on parlait d’autre chose ? Ça fait combien de temps que vous connaissez Fabrice ?
— Ça fait trois ans. Depuis qu’il a intégré notre équipe.
Ainsi notre conversation se poursuivit sur ces sujets moins polémiques ...
... que sont le travail, le temps qu’il fait, etc. Mon regard revenait sans cesse sur les jambes de Karine qu’elle se plaisait à croiser et à décroiser. Je sentais bien que ce petit jeu l’amusait et qu’elle prenait plaisir à m’émoustiller. Je crois bien que Fabrice s’en rendait compte, mais il se garda bien désormais de faire la moindre remarque. Après tout, s’il était coupable de quelque chose, il ne devait pas se sentir en mesure de faire quelque reproche que ce soit à son épouse et cette dernière avait alors bien raison d’en tirer avantage. Quant à moi, je comptais mettre à profit cette situation et me décidai à tester jusqu’où elle était prête à aller. Oui, je sais, ce n’est pas très moral vis-à-vis de mon copain, mais mettez-vous à ma place, cher lecteur(trice), cela faisait plusieurs mois que j’étais à la diète sexuelle et la plastique, pour le moins « appétissante », de la belle Karine ne me laissait pas indifférent.
Les circonstances allaient d’ailleurs bientôt m’être favorables. Karine avait préparé une jolie table décorée de quelques pétales de rose. Elle m’installa à sa droite, tandis que Fabrice lui faisait face. La table était assez grande et je me dis que cela me permettrait peut-être de faire discrètement du pied à la maîtresse de maison. Je m’en sentis tout guilleret.
Le repas fut excellent et, dès l’entrée, je ne manquai pas de complimenter la cuisinière :
— C’est succulent, Karine. Bravo.
— Oh. Ce n’est rien.
Puis m’adressant à Fabrice, je continuai ...