1. La vengeance d'une femme trompée


    Datte: 17/11/2018, Catégories: fh, cocus, inconnu, vengeance, strip, intermast, pénétratio, occasion, Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe

    ... et qu’elle posa sur la table basse. Se tournant vers moi avec un joli sourire, elle répéta :
    
    — Elles sont vraiment magnifiques. Mais ce n’est pas raisonnable. Vous avez fait une folie et je vais vous gronder !
    
    Je remarquai alors ses yeux, de beaux yeux bruns. Cela ne m’avait pas frappé jusqu’alors, mais elle avait un regard à la fois doux et franc. Le regard envoûtant de la séductrice qui sait jouer de son charme, sans toutefois en abuser. Je révisai alors mon premier jugement : Karine était finalement une jolie femme. De plus, je constatai qu’elle savait s’habiller avec goût, de manière très féminine et même un brin sexy. Elle était vêtue d’une robe bustier de couleur vert amande, très vaporeuse et serrée sous les seins, qui découvrait largement ses épaules et son dos (en connaisseur, j’en déduisis qu’elle ne portait donc pas de soutien-gorge) et qui, assez courte, découvrait de longues et fines jambes mises en valeur par des sandales à talons hauts qui lui allaient à ravir. Des pensées grivoises me vinrent alors à l’esprit.
    
    Puis, s’adressant à son mari, elle continua :
    
    — Alors chéri, tu nous sers l’apéritif ?
    — OK, trois apéros, trois ! C’est parti ! s’exclama Fabrice en quittant la pièce.
    
    Karine s’assit dans l’autre angle du canapé, laissant remonter sa robe assez généreusement, en tout cas suffisamment pour m’émoustiller. Mon copain absent, je ne me gênai pas pour reluquer ostensiblement ses jolies jambes, alors découvertes jusqu’à mi-cuisses. Mon regard ...
    ... insistant ne lui échappa évidemment pas et elle sembla même y prendre un certain plaisir. Tout en les croisant d’un geste lent et calculé, elle dit, comme pour donner le change :
    
    — Vous venez de passer une période difficile, m’a dit mon mari ?
    — Oui, en effet. Mais cela va beaucoup mieux maintenant.
    — Fabrice et moi voulons que cette soirée vous soit la plus agréable possible, afin de vous faire oublier cette mauvaise passe. Nous ferons tout pour cela.
    — Je vous remercie, répondis-je en me demandant ce que voulait dire ce « tout ».
    
    Laissant à nouveau mon regard errer sur ses jambes, je pensai tout à coup que quelque chose me serait vraiment agréable en effet : glisser ma main sous sa robe légère. J’avais décidément l’esprit bien frivole ce soir-là. Mais Fabrice revint avec les bouteilles d’apéritifs, me tirant de ma rêverie. Il remplit nos verres et nous trinquâmes :
    
    — À notre santé ! s’écria-t-il.
    
    Nos verres s’entrechoquèrent et Karine reprit la conversation :
    
    — Vous aviez des enfants ? me demanda-t-elle.
    — Non heureusement, répondis-je.
    — C’est mieux comme ça… continua-t-elle. Alors maintenant il ne vous reste plus qu’à tourner la page… mais j’imagine que ce n’est pas si facile.
    — C’est le plus difficile, en effet. Tourner la page sur cinq ans de vie ne se fait pas d’un claquement de doigts. Mais enfin maintenant je me sens prêt… Prêt pour une nouvelle vie, soupirai-je !
    
    Fabrice décida alors de me taquiner :
    
    — Maintenant tu es libre, mon vieux. ...
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