1. La vengeance d'une femme trompée


    Datte: 17/11/2018, Catégories: fh, cocus, inconnu, vengeance, strip, intermast, pénétratio, occasion, Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe

    ... nous restâmes un long moment à nous caresser amoureusement comme deux amants ivres de bonheur. Je réalisai tout à coup que je venais de baiser une femme que je ne connaissais ni d’Ève ni d’Adam il y avait seulement deux heures. En me repassant le film à l’envers, je me dis que Karine était tout de même une sacrée fille ! Par vengeance vis-à-vis de son mari, elle n’a pas hésité à s’offrir à l’inconnu que j’étais pour elle. N’allez pas croire, cher lecteur(trice), que je crachais dans la soupe. Bien au contraire. Elle avait donné au pauvre type abandonné que j’étais, plus d’amour que je n’en avais jamais eu en une seule fois. Elle m’avait aussi communiqué une formidable envie de vivre…
    
    — Oh c’est stupide, dit-elle soudain. J’ai oublié…
    — Qu’est-ce que tu as oublié ?
    — J’ai oublié de te faire une fellation, continua-t-elle en posant sa main sur mon sexe ramolli et encore trempé de sperme. Fabrice dit que je les fais très bien.
    — Ce sera pour la prochaine fois, répliquai-je.
    — Qui te dit qu’il y aura une prochaine fois ?
    — C’est mon petit doigt qui me le dit… J’ai découvert en toi une petite perverse qui a adoré ma grosse queue et qui, j’en suis sûr, n’a plus qu’une idée : remettre ça !
    — J’ai jamais vu un pareil prétentieux ! Tu rêves, mon pauvre ami !
    — Alors, on se revoit quand ?
    — Pfffft, fit-elle en haussant les épaules… Tu me donneras ton numéro de portable et on verra… !
    
    La suite de l’histoire est simple. Fabrice, trop désireux de poursuivre sa relation ...
    ... avec Virginie, sa « catin du bureau », nous laissa à Karine et moi tout le loisir de nous voir autant qu’on le souhaitait. Il s’accommoda si bien de cette situation que, non seulement nos relations d’amitié n’en furent nullement troublées, mais il m’avoua même souvent préférer voir sa femme baiser avec moi plutôt qu’avec un inconnu. Ma relation avec Karine était purement physique ; elle aimait ma queue et j’adorais son corps, elle prenait toujours son pied à entendre des mots crus pendant que je la baisais, tandis que j’éprouvais un plaisir de mâle dominant à l’insulter quand elle était à ma merci.
    
    Et puis un jour, je rencontrai la femme de ma vie, la vraie cette fois. Celle qui me combla d’amour et qui sut satisfaire ma sexualité débridée, celle avec laquelle j’eus envie de fonder une famille, celle qui est toujours ma compagne aujourd’hui : la belle Julie. Avec Julie, tout fut différent. Je ne la baisais pas, mais je lui faisais l’amour et au lieu de l’insulter, je lui susurrais des mots doux. De ce moment, je cessai ma relation avec Karine qui fut un peu déçue sur le moment, mais qui comprit très vite que, cette fois, j’avais vraiment rencontré l’amour et elle fut heureuse pour moi.
    
    Depuis, Karine, Fabrice, Julie et moi sommes devenus les meilleurs amis du monde et prenons toujours plus de plaisir à passer de bons moments ensemble. Mais ne vous méprenez pas, cher lecteur(trice), nos relations sont désormais seulement amicales. Et même si mon regard s’attarde encore de ...