1. La vengeance d'une femme trompée


    Datte: 17/11/2018, Catégories: fh, cocus, inconnu, vengeance, strip, intermast, pénétratio, occasion, Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe

    ... la belle. Puis ma main caressa l’intérieur de la cuisse en exerçant dessus une légère pression qui contraignit Karine à l’écarter un peu. Ma main alors remonta en suivant toujours l’intérieur, survola les lèvres intimes en les frôlant à peine, ce qui fit réagir Karine qui poussa un petit cri étouffé, puis ma main continua par l’intérieur de l’autre cuisse où j’exerçai là aussi une légère pression qui eut le même effet. Je renouvelai l’opération deux ou trois fois, en effleurant à chaque passage son intimité, ce qui la rendait de plus en plus folle et l’obligeait à écarter toujours plus les cuisses. Si bien qu’au bout d’un moment, non seulement Karine était en proie à une très vive excitation, mais son entrecuisse se trouvait ouvert de la manière la plus indécente qui soit.
    
    — Arrête d’éviter ma chatte, vieux salaud. Je n’en peux plus. Machine-moi maintenant.
    
    Alors, je posai ma main sur son minou, complètement inondé de son désir. Mon doigt suivit un moment le contour de ses lèvres, puis je la pénétrai de mon index.
    
    — Tu mouilles comme une vraie pute.
    
    Mais elle était ailleurs et ne m’écoutait plus. La pénétration était si aisée que j’y introduisis bientôt l’index et le majeur en même temps et pendant que je la fouillais de mes deux doigts, mon pouce titillait son clitoris. Elle exulta, poussant des cris de plaisir et soulevant son bassin, comme pour forcer la pénétration.
    
    — Oh ouiiii, cria-t-elle. C’est le pied total !… Continue, vieux salaud. N’arrête surtout ...
    ... pas.
    — Mais c’est qu’elle a un orgasme, ma jolie catin.
    — Oh, oui… des mots crus.
    — Tu es une sacrée pute, Karine. La plus salope des filles que j’aie jamais connues… !
    
    Et je continuai à la fouiller sans ménagement.
    
    — Oh, ouiiii.
    
    Elle eut tout à coup l’idée de s’emparer de ma queue, dont la virilité n’avait pas faibli, bien au contraire. Elle l’empoigna fermement et se mit à la masturber avec une violence proportionnelle à l’intensité de son orgasme.
    
    — J’en peux plus, souffla-t-elle. Baise-moi !
    
    Mais j’étais bien décidé à la faire encore attendre. Sortant mes doigts de son vagin, je me mis à masturber son clitoris avec une frénésie croissante.
    
    — Nooon, supplia-t-elle au bout d’un moment… Arrête. Je n’en peux plus !
    
    Mais je continuai sans faiblir et elle se mit à littéralement hurler son plaisir. Un violent orgasme sembla la submerger, comme une énorme vague balaye inexorablement la plage.
    
    Enfin j’arrêtai le supplice. Elle continua longtemps à souffler en tentant de retrouver ses esprits. Quand son orgasme se calma, elle me souffla :
    
    — Mais qu’est-ce que tu attends pour me violer, maintenant. Je n’attends plus que ça. Je suis ta chose, ta petite salope qui n’a plus qu’une idée en tête : se faire baiser ! Alors, baise-moi ! cria-t-elle.
    
    Je me hissai alors sur le canapé, je vins sur elle, présentai ma bite à l’entrée de sa grotte d’amour et la pénétrai d’une seule poussée et jusqu’au fond. Elle était à ce point trempée que ma queue glissa aussi ...
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