1. La vengeance d'une femme trompée


    Datte: 17/11/2018, Catégories: fh, cocus, inconnu, vengeance, strip, intermast, pénétratio, occasion, Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe

    ... facilement qu’une épée dans son fourreau. Elle poussa un cri de surprise, puis ferma les yeux afin de mieux profiter de cet instant de bonheur. Elle me murmura :
    
    — Comme ta queue est énorme, vieux salaud ! Je me sens complètement remplie.
    
    Je restai alors au fond d’elle sans bouger, guettant les moindres contractions de son vagin tout en tentant de gonfler un peu plus mon membre par de petites poussées successives. Je me sentais si bien ; j’étais si heureux de sentir à nouveau la chaleur d’un sexe féminin après ces mois d’abstinence. Les petits plaisirs solitaires que j’avais pu me donner (ma libido débridée m’y poussait parfois) ne pouvaient remplacer cette merveilleuse sensation que l’homme ressent lorsqu’il donne du plaisir à une femme, lorsqu’il la sent vibrer sous l’effet de sa virilité.
    
    Enfin, je me mis à la pilonner, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement. Je ne lui faisais plus l’amour, je la baisais, comme elle me l’avait demandé, comme une chienne. Alors, sa respiration se fit de plus en plus rapide, puis elle poussa des gémissements, puis ses gémissements devinrent bientôt des cris. Je devinai qu’elle avait un nouvel orgasme. Alors je sortis brusquement mon sexe, juste pour la frustrer, juste pour qu’elle me désire encore plus fort et c’est exactement ce qui arriva :
    
    — Non, reviens !
    
    Je m’enfonçai alors en elle brutalement.
    
    — Ah ! Salaud ! me cria-t-elle.
    
    Puis je ressortis à nouveau.
    
    — Arrête de te jouer de moi, vieux salaud. Je ...
    ... sais ce que tu veux, me lança-t-elle. Tu veux que je te supplie, que je t’implore, que je te crie que j’ai besoin de ta queue… Eh bien, oui. Je n’en peux plus. Tu as allumé en moi un feu terrible, alors…
    
    Elle fit une pause pour reprendre son souffle, puis continua en me regardant droit dans les yeux :
    
    — Baise ta petite salope. Défonce-la ! Elle ne demande que ça. Elle veut encore sentir ta grosse queue…
    
    Alors, j’eus envie de lui donner toute satisfaction. Je repris mon pilonnage avec une énergie encore décuplée par ses mots obscènes. Des mots de femme soumise qui n’avait plus de volonté, qui ne pensait plus qu’à assouvir ses instincts les plus bas de femelle en chaleur. Quant à moi, j’avais la sensation bien trompeuse d’être maître de la situation, de tenir les rênes et que Karine n’était plus qu’un jouet entre mes mains. Mais en fait, j’étais désormais esclave de son corps qui m’attirait comme un aimant et qui faisait de moi une bête en rut, avide de sexe.
    
    Elle s’arc-bouta dans un ultime élan, parcourue par un violent orgasme et cria son plaisir :
    
    — Oh. Ouiiiiiii !
    
    Ses yeux révulsés par la jouissance, sa longue chevelure en désordre autour de son joli visage, les pointes de ses seins outrageusement érigées, ses cris de femme comblée firent monter en moi un formidable orgasme. Mon éjaculation fut forte et abondante, à la mesure du plaisir immense que je ressentais. Puis, me laissant retomber, je m’étendis près d’elle, comblé et heureux. Collés l’un à l’autre, ...