La vengeance d'une femme trompée - Histoires de Sexe

La vengeance d'une femme trompée

... narines en fermant les yeux.

Un bruit de ceinture les lui fit rouvrir. Alors torse nu, j’avais en effet commencé à défaire mon pantalon. Il glissa bientôt jusqu’à terre et je m’en débarrassai prestement après m’être déchaussé. Je n’avais plus alors que mon boxer, complètement déformé par ma queue au mieux de sa forme. Je le fis glisser lentement vers le bas, jusqu’à ce qu’il libérât totalement mon sexe, exhibant alors sans équivoque à Karine toute ma virilité.

— Wouah, s’écria-t-elle, admirative. Joli membre !
— Il bande à cause de toi et pour toi, dis-je en m’approchant d’elle.
— Non. Ne bouge pas… Pas encore.

Je m’arrêtai tout en lui faisant un regard étonné et interrogatif.

— Branle-toi.
— Comment ?
— Tu me désires très fort, n’est-ce pas ?
— Tu m’excites tellement que je ne pense plus qu’à ça, petite perverse.
— Imagine que moi, l’objet de tous tes désirs, je sois inaccessible pour toi… Imagine que, même dans tes rêves les plus optimistes, je reste la femme que tu n’auras jamais… Tu n’aurais alors plus qu’un moyen de satisfaire tes désirs : te masturber… Alors, masturbe-toi !
— Tu as des exigences bien curieuses… Enfin, si ça peut te faire plaisir !

Un peu gêné, mais résolu à tout faire pour lui être agréable, j’empoignai ma queue et me mis à la branler doucement, tout en me régalant de la vue de son corps dénudé. Au même moment, elle entreprit de se titiller le petit bouton, ce qui eut pour effet de me stimuler encore davantage.

— Je te fais ...

... bander, hein, me dit-elle ?
— …
— Branle-toi plus fort ! Je veux que tu me désires comme un fou !

Accédant à ses injonctions, j’accélérai ma masturbation en prenant garde toutefois à ne pas atteindre le point de non-retour. J’étais en effet à ce point excité, aussi bien par la vue de ce superbe corps offert, que par le fait de me branler devant elle, que mon orgasme commençait à monter. La petite vicieuse prenait visiblement son pied à me voir m’astiquer la queue et elle-même accéléra la masturbation de son clitoris.

— Tu vas me faire éjaculer, petite perverse. Mais ce n’est pas ça que je veux… Tu sais ce que je veux ?
— Qu’est-ce qu’il veut, mon vieux salaud ?
— Je n’ai qu’une obsession, te baiser, défoncer ton petit minou de salope avec ma grosse queue !
— Oh. Arrête, tu me fais rêver, dit-elle en continuant à se titiller le clitoris… Dis-moi encore des mots crus, vieux salaud.
— Je vais baiser ta chatte de pute en chaleur, je vais te remplir de ma grosse bite…
— Oh oui !…

Puis elle continua :

— Ça suffit maintenant. Viens !

Je ne me le fis pas dire deux fois. Je m’approchai d’elle, me mis à genoux devant le canapé afin d’être à la bonne hauteur et posai ma main gauche sur un sein, tandis que la main droite entamait une caresse de son bas-ventre. Elle glissa sur sa peau douce et chaude, tout en se rapprochant peu à peu du sexe, mais arrivée au contact des premiers poils pubiens, elle dériva sur une cuisse en évitant soigneusement de toucher l’intimité de ...