La vengeance d'une femme trompée
Datte: 17/11/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
vengeance,
strip,
intermast,
pénétratio,
occasion,
Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe
... et je le sentais reprendre peu à peu vigueur.
Puis elle se suspendit à mon cou en se serrant contre moi, colla ses lèvres aux miennes et sa langue en força le passage. Nous reprîmes alors le baiser de tout à l’heure, à la différence près que Karine était désormais nue entre mes bras. Mes mains, ne voulant oublier aucun centimètre carré de sa peau, n’en finirent pas de caresser son dos, ses hanches et ses fesses. Je me trouvai à nouveau dans un état second, oubliant déjà complètement les scrupules qui, deux minutes auparavant, me poussaient à partir. Elle décolla ses lèvres, mettant fin à ce chaud baiser, puis, me lançant un regard que je ne lui connaissais pas encore, elle dit :
— Qu’est-ce que tu attends pour m’arracher mon petit string ?
— Je vois qu’on abandonne le vouvoiement… Je croyais pourtant que vous trouviez le tutoiement vulgaire, petite polissonne !
— Tu ne penses tout de même pas me baiser en me vouvoyant, non !
— Il n’y a donc plus d’ambiguïté entre nous. Tu es ma petite salope !
— C’est ça ! Dis-moi encore des mots crus, vieux salaud !
Je commençais à prendre goût à son fantasme de se voir traitée comme une moins que rien pendant nos ébats et cela stimulait mes sens. On sait que le sexe se passe aussi beaucoup dans la tête, n’est-ce pas ?
— Je vais t’arracher ce string, petite pute !
Joignant le geste à la parole, je saisis des deux mains le fragile objet et, m’accroupissant, le fis glisser énergiquement jusqu’à ses pieds. Je crus même qu’il ...
... allait se déchirer, tellement mon geste fut brusque. Mes yeux, alors à la hauteur de son intimité, découvrirent la légère touffe brune de son sexe, à peine éclaircie, et ses lèvres humides de désir.
— Oh oui, soupira-t-elle. Traite-moi avec brutalité. Je suis ta pute.
Comme je me relevais, elle s’approcha de mon oreille et me chuchota :
— J’ai très envie que tu me prennes…
Elle marqua une pause, puis reprit :
— … comme une chienne !
Puis, avant même que j’eusse le temps de caresser son intimité, elle se dirigea vers le canapé, s’y étendit langoureusement, reposant sa tête sur l’accoudoir et écartant les cuisses juste ce qu’il fallait pour m’exhiber sa féminité. Ses longs cheveux châtains s’étalaient sur ses épaules nues, ses seins, fièrement dressés, telle une provocation, montraient des tétons tendus, comme avides d’une bouche gourmande.
Elle me susurra de sa voix la plus chaude :
— Maintenant, mon vieux salaud, tu vas me faire un strip-tease et je serai ta spectatrice. Ensuite, lorsque tu seras nu, je veux que tu me baises sans ménagement, comme la dernière des putes !
— Voilà un programme qui me convient tout à fait, lui répondis-je en commençant à déboutonner lentement ma chemise.
J’éprouvais une très vive excitation à m’effeuiller devant elle et ça se voyait. Elle, en spectatrice attentive, ne cessait de fixer avec des yeux gourmands la bosse de mon pantalon. La chemise enlevée, je la lui jetai négligemment. Elle s’en empara et la porta à ses ...