La vengeance d'une femme trompée
Datte: 17/11/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
vengeance,
strip,
intermast,
pénétratio,
occasion,
Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe
... tout à coup de la tenue de son épouse.
— Mais qu’est-ce que tu fous à poil ? … et devant mon copain en plus. Tu vas te rhabiller, oui !
— Premièrement, je n’ai pas d’ordre à recevoir de toi, deuxièmement je suis très bien ainsi, répliqua-t-elle sur un ton tranchant.
— Et ça te dérange pas de te balader à poil devant mon copain ?
— Non seulement ça ne me dérange pas, mais je trouve cette situation particulièrement piquante !
— Arrête de faire la pute et va t’habiller, hurla-t-il d’une voix empâtée.
— Tu m’emmerdes ! Encore une fois, je fais ce que je veux !… Tu ne m’as pas demandé mon avis quand tu as baisé ta catin du bureau ! hurla-t-elle.
— Virginie… c’est pas une catin, marmonna-t-il de manière à peine perceptible.
— Tu as baisé Virginie ? m’étonnai-je… Remarque, c’est vrai qu’elle est plutôt bien foutue, continuai-je sur le ton de la plaisanterie, pensant à tort détendre l’atmosphère.
— Non, mais ça va pas toi ! Tu ne vas pas t’y mettre aussi ! s’écria Karine.
Elle était furieuse et je compris alors la raison de leur petite altercation de tout à l’heure. Je compris également mieux l’attitude de femme complaisante que Karine manifestait à mon égard. Elle voulait se servir de moi pour se venger des frasques de son mari. Alors un sentiment de culpabilité m’envahit soudain : Fabrice m’avait gentiment invité et je voulais profiter de sa femme.
— Je suis désolé, Fabrice. Si ta femme est si dévêtue, c’est à cause de moi. Je n’aurais pas dû…
— Ce n’est pas ...
... vrai, coupa Karine. C’est moi qui ai tout fait pour qu’il enlève ma robe. Je t’avais prévenu que je me vengerais ! Eh bien le moment est venu, ce sera avec Olivier.
— Tu fais chier ! marmonna-t-il.
Puis il ajouta sur un ton à peine perceptible :
— Au moins, tant qu’à être cocu, autant que ce soit avec mon meilleur copain…
Je me sentis soudain affreusement gêné, honteux, responsable de cette scène pathétique, aussi ai-je eu à ce moment l’envie de m’éclipser, de disparaître au plus vite.
Fabrice se leva alors et se mit à crier :
— Vas-y, Olivier. Profites-en ! Baise-la, puisque c’est ce qu’elle veut… !
Puis il quitta la pièce, faisant violemment claquer la porte derrière lui.
Karine et moi restâmes silencieux un moment. Cette scène m’avait coupé tous mes effets et je ne pensais alors plus du tout à la bagatelle.
— Il vaut mieux que je m’en aille, Karine. Cette soirée aura tout de même été très agréable pour moi, malgré ce qui vient de se passer. Je me souviendrai de ce baiser que vous m’avez donné…
— Non. Ne partez pas, me supplia-t-elle.
Alors que j’étais déjà debout, elle se leva à son tour, plaqua sa main sur mon pantalon à l’endroit stratégique et, les yeux dans les yeux, me fit :
— Ce serait dommage d’en finir là, ne trouvez-vous pas ? Je sais que vous me désirez comme un fou et moi je veux ma vengeance.
— Ce n’est pas raisonnable, Karine, dis-je sur un ton tout à coup beaucoup moins assuré. Elle massait en effet mon sexe au travers du pantalon ...