1. La rencontre


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fh, hagé, fagée, cadeau, caférestau, amour, fsoumise, hdomine, noculotte, BDSM / Fétichisme fdanus, jeu, init, Auteur: Bruno, le conteur, Source: Revebebe

    ... il fait glisser ma jupe et passe mon chemisier au-dessus de ma tête, me laissant en sous-vêtements.
    
    Je l’embrasse goulûment et le débarrasse de ses vêtements. Il me repousse doucement sur l’oreiller et retourne à mon minou. Un coup de langue sur le clitoris me fait disjoncter.
    
    Sans pitié, il me retourne, me met à quatre pattes et introduit son vit dans mon sexe. Puis, m’attrapant les hanches, il entame une levrette frénétique. Au moment où je perds pied, il introduit son pouce dans mon anus. Cette intromission déclenche une vague nerveuse qui m’achève ; je m’écroule sous la puissance de cet orgasme.
    
    Lorsque je reprends pied, je suis débarrassée de mes dessous, mais seule.
    
    J’entends alors le bruit de la douche. J’entre dans la salle de bain et je me glisse sous l’eau avec lui. Pour la première fois, je le vois en entier, nu. Il est presque imberbe, avec un léger bedon, presque attendrissant. Je pose la main sur ses fesses ; elles sont dures et pommées, de même que ses cuisses (j’apprendrai plus tard qu’il pratique le ski depuis ses cinq ans).
    
    Après cette douche, nous nous essuyons l’un l’autre et nous retournons dans la chambre. Au passage, il récupère le sac avec la bouteille et – ô surprise ! – le patron du restaurant y a ajouté deux flûtes. Il tamise la lumière, emplit les deux flûtes et ...
    ... nous trinquons, lui assis, moi allongée, la tête posée sur sa cuisse, sa queue à portée de bouche.
    
    Puis il se coule contre moi et commence à me caresser en me suçotant les seins.
    
    — Non, s’il vous plaît : vous m’avez épuisée.
    — Justement, laissez-vous dorloter… C’est meilleur de se laisser faire.
    
    Sa queue reprend de la vigueur et il me pénètre doucement. Ses mouvements sont très lents, délicats, et me bercent dans une mer de sensations agréables. L’orgasme qui suit est très doux, presque paisible, et je sombre pour la deuxième fois dans une petite mort pleine de tendresse.
    
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    Je suis réveillée par une sensation de vide à mes côtés. Je me retourne ; il est debout, en train de glisser sa chemise dans son pantalon.
    
    — Reste, s’il te plaît… reste !
    
    Le temps s’arrête un instant.
    
    Puis il se déshabille et se glisse dans mon lit. Il me tourne sur le côté droit et se colle contre mon dos, puis il soulève ma fesse gauche et glisse son sexe entre mes deux hémisphères, contre mon œillet. Il glisse son bras sous mon aisselle et saisit mon sein gauche.
    
    Je m’endors comme ça, sa verge entre mes fesses, et sa main sur mon sein.
    
    Et je connais ma première nuit de tendresse avec celui qui est devenu mon amant et qui deviendra mon sultan bien-aimé.
    
    Mais ça, c’est une autre histoire… 
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