1. La rencontre


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fh, hagé, fagée, cadeau, caférestau, amour, fsoumise, hdomine, noculotte, BDSM / Fétichisme fdanus, jeu, init, Auteur: Bruno, le conteur, Source: Revebebe

    ... dessous. Pour le soutien-gorge, j’ai relevé vos mensurations avant de vous quitter et je me suis fait aider par une amie qui a un magasin de lingerie.
    
    Le serveur présente le tiramisu géant et le partage entre nous deux.
    
    Pierre me ressert un verre de Lambrusco.
    
    — Et pourquoi deux culottes ? lui demandé-je
    — Les culottes sont l’article qui s’use le plus vite. Avec deux culottes, vous gardez votre parure plus longtemps, et vous vous souviendrez plus longtemps de ce jour.
    — C’est juste.
    
    Après une bouchée de tiramisu, Pierre reprend :
    
    — Je parie que vous avez gardé la culotte classique.
    — Quoi ? fais-je, surprise.
    — Parions… Si je me trompe, je vous offre un autre ensemble.
    — Inutile, vous avez gagné.
    — Prouvez-le-moi.
    — Comment ?
    — Facile : donnez-la-moi.
    — Je ne comprends pas…
    — Enlevez votre culotte, là, maintenant.
    — Dans le restaurant ? Je n’oserai jamais.
    — Vous êtes sur la banquette ; vous voyez toute la salle. Choisissez le moment quand personne ne vous regarde.
    
    J’hésite, puis je me décide. Je dois être cinglée !
    
    Je tire la nappe pour me cacher, je trousse ma robe et je glisse mes mains pour attraper ma lingerie, puis je la fais glisser sur mes cuisses. Elle passe mes genoux et tombe sur mes chevilles. Il se penche, regarde sous la nappe. Je tends ma jambe ; il récupère ma lingerie et la glisse dans sa poche.
    
    — Alors ?
    
    Je suis rouge pivoine, mais finalement assez fière de mon audace.
    
    — C’est très excitant… et plutôt coquin.
    — Vous ...
    ... voyez, vous aimez jouer.
    
    Cafés, addition, pourboire, et nous voici dehors avec la bouteille dans un sac. Je m’accroche à son bras et nous retournons au 4x4. Comme à l’aller, il m’ouvre la portière. Comme je m’installe, il me murmure :
    
    — Vos fesses à nu sur le siège.
    
    Sans hésiter, je me trousse et m’assois, les fesses directement au contact du cuir, en le regardant avec un air de défi.
    
    En un instant, nous nous retrouvons dans l’escalier de mon immeuble. J’ai gravi les quatre premières marches quand je sens sa main sur mon mollet. Je m’arrête, comme pour l’inviter à monter plus haut.
    
    Ce qu’il fait, dépassant la lisière du bas, caressant le gras de ma fesse et s’insinuant dans ma fente, déjà humide. Je soupire ; il insiste et câline mon anus du pouce. Je me fais doigter le sexe et l’anus dans l’escalier de mon immeuble : je suis devenue complètement folle !
    
    — Pouvez-vous vous trousser, que je voie ce cul splendide monter l’escalier ?
    
    Je relève ma jupe et lui offre le spectacle demandé en accentuant le roulis naturel de mes fesses.
    
    Une fois dans l’appartement, je le plaque contre la porte, et avant de lui prendre les lèvres je lui murmure :
    
    — Mon amour… tu vas y passer ! Ça fait quinze jours que je t’attends.
    
    Il me rend mon baiser avec passion, ses mains se plaquent sur mon cul mis à nu.
    
    Il me pousse dans ma chambre et me fait tomber sur le dos dans le lit, sans me déshabiller. Il entame un broutage de minou déchaîné. Puis, reprenant son souffle, ...
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