1. Olivia


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fh, jeunes, vacances, campagne, init, Humour prememois, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... retrouve donc comme passagère forcée de celui de son aîné. Il est plus puissant et plus large que celui de ma cousine, et j’ai un mal fou à empêcher ma robe de remonter sur mes hanches sous l’effet de la vitesse. Comme mon chauffeur se prend pour un pilote de course et sème rapidement les autres, je renonce à lutter contre le vent et dois me serrer contre lui en le tenant fermement par les hanches. La vitesse me grise. Lorsque, quelques kilomètres plus loin, nous parvenons à destination, j’ai mon shorty à l’air, et ma robe au-dessus du bassin.
    
    Je distingue une grange avec une espèce de préau. Mon cavalier m’aide à descendre, non sans un regard appuyé sur ce que j’expose malgré moi, allume une lampe tempête et branche une sono entreposée dans un coin. Enfin de la bonne musique :Tokyo Hôtel ! Nos compagnons nous rejoignent, et les deux garçons allument un feu qui danse en donnant à nos silhouettes d’étranges éclairages. Je m’assois sur un banc entre les deux jeunes hommes, Olivia nous fait face. Nous chantonnons le refrain pendant que Giuseppe roule une cigarette, l’allume, inspire profondément la fumée et me la passe. Je tente de l’imiter et suis prise d’une quinte de toux qui provoque un fou rire chez mes compagnons. Pour une fois serviable, ma cousine s’approche de moi et me montre comment garder la fumée le plus possible dans mes poumons. Je finis par y arriver. La cigarette fait le tour de l’assemblée ; je me sens bien, relaxée, la mélodie me pénètre.
    
    Guido passe son ...
    ... bras sur mes épaules ; je le laisse faire, sensible à ce geste protecteur. Le temps me semble s’écouler avec une lenteur étonnante, je me sens voler. Avec douceur, mon voisin pose sa main sur le bord de mon décolleté et le fait bâiller, dévoilant mon buste. J’ai l’impression que ma tête s’est séparée de mon corps et le considère comme un étranger. Je mets un temps fou à protester faiblement, et Giuseppe, qui s’est largement rincé l’œil, me souffle :
    
    — Pourquoi emprisonnes-tu tes trésors ?
    
    Je minaude, et Olivia, d’une voix étrange, rétorque :
    
    — Tu as raison, libère-les !
    
    Comme s’il n’attendait que cet ordre, le garçon fait coulisser le zip de ma robe et attaque l’agrafe. Je fais face à son frère, dont les yeux sont traversés par des éclairs lubriques. Les doigts dans mon dos sont maladroits et peinent à parvenir à leurs fins. Il faut le renfort de ma cousine pour libérer mon buste, qu’elle dévoile en faisant glisser le haut de ma robe sur mes hanches. Je me rends compte que les caprices des flammes donnent à mon effeuillage une suggestivité intense. Chacun des garçons me saisit un téton et joue avec sa pointe. Je ferme les yeux, j’ai la tête qui tourne et me sens divinement bien. Des frissons courent le long de ma colonne et agitent mon ventre. Étonné par ma passivité consentante, Guido me fait lever ; ma robe descend sur mes chevilles, je n’ai plus que mon shorty et mes escarpins. Il me prend par la main, me fait contourner le foyer sous les yeux exorbités de son ...
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