Olivia
Datte: 16/11/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
vacances,
campagne,
init,
Humour
prememois,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... frère et m’entraîne vers la grange. J’ai envie de lui et veux devenir femme.
Il me couche sans trop de ménagement sur la paille, se penche vers moi et saisit mon shorty. Dans un aveu d’abandon, je soulève mes reins pour l’aider à l’ôter. Je tremble de désirs trop longtemps refoulés. Il dégrafe sa ceinture, fait glisser ses vêtements, m’écarte les cuisses. Je sens à l’orée de ma chatte humide son membre orgueilleusement dressé. Et, d’un puissant coup de reins, il m’investit. La douleur me traverse le ventre, je crie, me débats. Mon partenaire, insensible à ma douleur, va-et-vient, réveillant à chaque passage ma souffrance. Il se tend soudain, rugit, se répand en moi et se retire. Je suis à moitié évanouie. Mon sang, se mêlant à sa semence, coule entre mes cuisses.
Je suis dans un état second. Je sens cependant un bon moment plus tard une morsure sur mon sein droit et un contact étrange, à la fois dur et soyeux, contre ma cuisse ; j’ouvre un œil : c’est Dario, qui est penché sur moi. Je me crispe et tente de le repousser. C’est alors que je sens une main apaisante se poser sur mon avant-bras : Olivia est assise en tailleur tout près de moi. Elle me susurre sur un ton presque maternel :
— Détends-toi, Élodie, détends-toi…
Elle glisse son autre main entre nous et, saisissant la base du membre du garçon, elle en amène le gland à l’entrée de mes lèvres. Dario est arc-bouté sur ses coudes, et nos corps ne se touchent qu’au niveau des mamelons et du sexe. Nous restons ...
... plus d’une minute à prolonger ainsi ce contact, et effectivement je me détends. Je sens d’intenses fourmillements là où nos peaux se caressent, mes lèvres s’humidifier et s’ouvrir comme pour gober l’intrus qui frappe à sa porte. Je me dis que, finalement, l’important pour moi est d’atteindre ce septième ciel dont mes copines m’ont tant parlé, et que le cadet ne pourra pas faire pire que son aîné ! J’avance presque malgré moi mon ventre vers le membre viril, et comme si elle n’attendait que ce geste, Olivia le libère en ôtant la main.
Le jeune homme s’affale sur moi brutalement en m’écrasant sous son poids, réveillant ma blessure, et, après quelques ruades, se vide dans mon ventre comme si j’étais un corps sans vie, ou plutôt une poupée gonflable.
J’ignore le temps qui s’est passé lorsqu’un contact doux sur mon front m’éveille : Olivia est penchée vers moi. J’essaie de me lever, j’ai mal à la tête, au ventre. Elle me soutient. Entre mes cuisses, je sens des croûtes de sperme sec mêlé à mon sang coagulé. Péniblement, soutenue par ma cousine, je me rhabille, rejoins son scooter. Les garçons sont partis. Le voyage de retour est un enfer, le bain à l’arrivée un paradis. Morphée m’engloutit dans ses bras. Où est donc le nirvana, tant vanté par mes copines, que procurent les bras d’un homme ?
Jusqu’à la fin des vacances, Olivia se montre particulièrement gentille avec moi, adoucissant l’aspect autoritaire avec lequel elle avait traité jusque là sa petite cousine. Peut-être ...