Olivia
Datte: 16/11/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
vacances,
campagne,
init,
Humour
prememois,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... que mon short et mon tee-shirt blancs sont devenus complètement transparents et que mes aréoles se dessinent nettement malgré mon soutien-gorge. Guillaume est lui aussi mouillé, mais il me fixe intensément tout en ôtant sa chemise détrempée.
La chipie, auteur de l’accident, se moque de moi :
— Eh bien, Élodie, tu ne nous caches pas grand-chose. Va falloir faire sécher tes vêtements vite fait ! Pas vrai, Guillaume ?
— Oh oui, et les miens aussi ; mais je vais devoir récupérer le seau là-bas…
En un tournemain, le garçon fait glisser son jean, et en boxer bleu clair retourne dans l’eau pour rapporter le seau évidemment délesté de nos prises que le courant a emporté plus loin.
— Ouste ! Enlève tes vêtements : je vais les essorer et les faire sécher au soleil.
C’est ainsi que je me retrouve en culotte et soutif devenus transparents pendant que ma cousine étend mes effets sur l’herbe. Lorsque le jeune paysan émerge de l’onde, nos deux regards sont attirés par la protubérance qui tend son caleçon : ma tenue l’inspire, visiblement. J’ai du mal à détacher les yeux de ce mât qui soulève le tissu. Il fixe sans vergogne mes dessous indiscrets.
Comploteuse comme toujours, Olivia me glisse :
— Élodie, regarde l’état dans lequel tu as mis notre ami ! Tu ne peux pas décemment(sic) le laisser dans cet état. Fais quelque chose ; approche-toi de lui… plus encore… Agenouille-toi, et ôte son slip pour qu’il sèche lui aussi.
Étrangement passive, j’obtempère, et le membre ...
... du jeune homme saute hors de sa prison et vient frapper son ventre à quelques centimètres de mon visage.
— Caresse-le maintenant, tu ne peux pas le laisser avec une telle tension.
À plusieurs reprises, j’ai déjà touché des garçons ; mais c’était toujours dans la pénombre d’une salle de cinéma, d’une soirée ou d’un parc. Jamais je n’avais eu, aussi près de mes yeux, en pleine lumière, un sceptre mâle ainsi érigé. La peau est douce, de grosses veines bleutées la sillonnent, le champignon au bout est rose et massif, une perle liquide pointe au bout du méat. Je sens qu’il se cabre légèrement lorsque mes doigts courent le long de ce bâton. Il a fermé les yeux, les bras le long du corps, le slip aux genoux. Je suis à la fois gênée et fière de le tenir ainsi à ma merci.
J’entends la voix d’Olivia, ferme et étonnamment lointaine, m’enjoindre :
— Caresse-lui aussi les couilles, elles font partie du lot !
J’obtempère, mécaniquement ; elles sont lourdes, gonflées, pleines de vie. D’une main je les soupèse, de l’autre je monte et descends le long du pieu érectile. Je sens le garçon se tendre de plus en plus ; il murmure des mots que je ne peux comprendre, s’arc-boute, grogne, et de lourds jets de semence blanchâtre jaillissent tel un geyser… Je ne peux éviter les deux premiers qui maculent mon menton et mon buste. Le garçon se relâche, le souffle agité. Olivia reprend ses ordres :
— Maintenant, tu dois finir le travail : nettoie-le avec ta langue !
Par deux fois, j’ai ...