1. Olivia


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fh, jeunes, vacances, campagne, init, Humour prememois, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... m’étouffer.
    
    Probablement lassé de me faire luire le fessier, ses doigts s’aventurent vers ma porte de derrière. Il me fait mal en tentant l’effraction, mais je trouve la parade : je le fais reculer de l’entrée interdite en jouant non plus des lèvres et de la langue, mais des dents ! Il rugit, mais abandonne son projet d’excursion et migre vers ma féminité. Il s’y introduit sans ménagement, et, atteignant mon bouton, le fait rouler, le triture, le tire et le relâche comme s’il voulait me traire. Bien que frustres, ses doigts ne sont pas inexpérimentés, et je sens sourdre en moi une certaine humidité, preuve que mon corps est prêt à accepter une reddition que mon esprit récuse. D’abord parce que je suis en mission, et que mêler plaisir et boulot est dangereux ; ensuite, parce que je refuse l’idée de lui donner cette satisfaction de me voir m’abandonner sous ce qui peut difficilement s’appeler des caresses. Alors j’intensifie mon emprise buccale, resserrant mes lèvres sur son pieu de chair, taquinant son méat comme si je voulais y enfiler la pointe de ma langue et massant d’une main douce mais ferme ses lourdesoranges. C’est une course de vitesse entre nous, mais je le sens se tendre, se cabrer ; ses grognements s’intensifient… et je gagne : il crie, et lâche en rafales son flot de semence. Le mouvement de recul que je tente pour échapper à ses puissants jets est annihilé par la pression accrue qu’il impose sur ma nuque. J’en avale beaucoup trop, le surplus ruisselle sur ...
    ... mes lèvres… Je hoquette, il n’en a cure. Il m’enjoint :
    
    — Regarde, tu m’as sali. Fais ma toilette maintenant.
    
    Encore une fois, la différence de saveurs entre Piotr et lui n’est vraiment pas à son avantage. Je m’acquitte de ma tâche avec la conscience d’une professionnelle, et quand enfin il relâche la pression de sa main, je me relève et cherche dans mon sac un mouchoir de papier pour m’essuyer les lèvres. C’est alors que d’étranges mouvements sur ma droite attirent mon attention et je distingue, dans la pénombre, à quelques centimètres de moi, deux individus assurément de sexe masculin en train d’astiquer le sexe. Mon premier réflexe et de me draper dans mon sweat-shirt. Je réalise que Manu a allumé le plafonnier pour exhiber sa conquête dévêtue aux regards voyeurs. Je finis par accepter de leur dévoiler à nouveau mon buste pour tendre la main vers le plafonnier et tenter de l’éteindre. J’y parviens après des tâtonnements qui me paraissent effroyablement longs ; un flot laiteux vient s’écraser contre ma vitre, jaillissant d’un membre de couleur noire. Je baisse la tête comme s’il pouvait perforer la paroi de verre, ce qui provoque un éclat de rire gras chez Manu. Je le couvre de jurons pour m’avoir donnée en spectacle à des inconnus obscènes et lui enjoins de démarrer tout de suite, ce qu’il finit par faire sans se presser, après avoir tranquillement remis son attirail dans son slip et remonté puis bouclé son pantalon. Je boude dans mon coin, furieuse de m’être fait ...
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