Olivia
Datte: 16/11/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
vacances,
campagne,
init,
Humour
prememois,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... Avec Manu, ça dure plus ! Mais tu l’appelleras pour la rassurer.
Pendant une dizaine de minutes, j’ai droit à un cours de narcissisme macho. Il bifurque sur un immense terrain vague entièrement désert et se gare tout au fond. Il descend et me dit :
— Je fais de la place dans le matériel pour que tu puisses t’étendre plus confortablement, et Manu va t’emmener au paradis.
— Euh, je ne peux pas, je suis indisposée…
L’homme chancelle, comme s’il avait pris un coup sur la tête. Il revient s’asseoir derrière son volant et me jette un regard noir. Je sens que je dois mettre un peu du mien pour ne pas faire échouer ma mission. Je pose une main sur sa braguette et fais passer de l’autre mon sweat sur ma tête, lui révélant ma poitrine sans protection. L’homme ouvre la bouche comme s’il manquait d’air et murmure d’un ton rauque :
— Petite salope, t’es toute nue dessous !
Il me prend sans ménagement par la taille et me tourne vers lui. Je me retrouve à genoux sur le fauteuil de la voiture, tournée vers lui. Il recule autant qu’il le peut son siège, dégrafe son pantalon, me prend d’une main la nuque pendant que l’autre triture sans douceur mon buste et me fait incliner la tête vers son bas-ventre.
— Tu vas voir comme elle est bonne, la queue à Manu, petite !
Me voici partie pour un simpleblow job, comme me le demandait une de mes éphémères relations américaines, ce qui m’avait fait sourire, le principe étant plus d’aspirer que de souffler ! Les parties ...
... génitales du Portugais dégagent une lourde odeur musquée, plutôt écœurante. Son membre est à son image, petit, gros, trapu. Je suis surprise de la taille de ses bourses, on dirait de grosses oranges à la peau fripée.« Aïe,me dis-je dans ma tête,toi aussi, tu fais dans la métaphore fruitière ! » Je m’attelle à ma tâche, ma mission l’exige. L’homme me lâche un moment la nuque pour allumer le plafonnier de la camionnette. Une lumière glauque se répand dans l’habitacle ; tant mieux si la vision de mon abandon de corps (mais pas d’âme) accélère le moment où son plaisir jaillira. Son goût est particulièrement âcre, et ma tête, à la fois actrice et spectatrice de ma déchéance, en conclut que ce n’est pas parce que les hommes font le même métier qu’ils ont la même saveur, Piotr ayant presque un arôme sucré.
Lassé de me triturer la poitrine, la main de mon informateur se glisse vers mon ventre. J’ai un mouvement de rébellion, mais la poussée de son autre paume sur ma nuque me rappelle fermement vers le bas. Il crochète mon zip et tente de le tirer vers le bas. Un sinistre craquement prouve qu’il a atteint son but, non sans dommages pour mon pantalon. Sa main glisse sur mon dos, et, dans un nouveau bruit de vêtements déchirés, je me retrouve fesses à l’air, pantalon et shorty sur les genoux ! Il alterne alors sur mon postérieur des massages plus que vigoureux et claques sonores et cuisantes, tout en me maintenant bouche collée contre son pubis. Je manque à plusieurs reprises de ...