1. Olivia


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fh, jeunes, vacances, campagne, init, Humour prememois, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... chantier. J’ôte rapidement mes habits d’hiver et réfléchis.Être naturelle, m’a conseillé Olivia. Je file donc dans ma salle de bain, comme pour prendre une douche. En fait, je me mouille un peu les cheveux pour donner le change, me maquille soigneusement et n’enfile qu’un peignoir dont je fais largement bâiller l’échancrure.« Ma fille, le moment que tu attendais est arrivé ! » me dis-je en me dirigeant vers la salle de bain de ma mère où travaille Piotr.
    
    Il ne m’entend pas arriver, et je l’observe, couché sous le meuble d’arrivée d’eau, réaliser ses branchements ; lorsqu’il m’aperçoit, un beau sourire – le premier que je lui vois – éclaire son visage. Il me marmonne quelque chose que je ne comprends pas. Alors, d’un geste, il mime l’ouverture de sa chemise. Je comprends alors son message, et d’un mouvement savamment lent, j’entrouvre complètement le haut du peignoir. Fasciné par mon buste découvert, l’ouvrier se relève, me prend la main et me conduit vers la chambre de ma mère. Je résiste ; il ne comprend pas. Je lui souris à mon tour et, par signes, lui fais comprendre que je l’emmène vers ma propre chambre. Une fois arrivés, je lâche sa main, me défais de mon peignoir et m’étends sur mon lit, nue, sur le dos, les cuisses écartées, les genoux relevés. Je me croirais, les étriers en moins, chez ma gynécologue ! Je ferme les yeux et attends le contact habituel d’une verge bandée qui tente de se frayer une voie entre mes lèvres intimes, puis celui d’un corps d’homme qui ...
    ... écrase le mien…
    
    Surprise ! Rien de tout ça, sinon un papillon aux ailes urticantes qui se pose en douceur sur mon mont de Vénus. J’ouvre les yeux, distingue une chevelure blonde aux reflets roux entre mes jambes, sens une langue friponne qui glisse entre mes lèvres en suivant leurs contours, frémis sous l’agacement coquin des poils d’une moustache là où ma peau est si tendre. L’intruse pénètre en moi, léchant mes parois intimes. Deux mains montent plus haut et atteignant mes seins, tournent avec langueur sur mes aréoles, en effleurent les pointes puis les font rouler entre leurs doigts. Sensation exquise, légère et aérienne. Je m’entrouvre plus encore, comme une fleur au soleil, frémissante d’envies trop longtemps contenues. L’appendice indiscret s’active plus avant et s’enfonce dans ma source, entamant un ballet qui me grise. J’attendais du Wagner, il me joue du Mozart. Et si je ne parle pas sa langue, sa langue, elle, elle me parle !
    
    Autour de mon clito, elle danse un menuet, puis le lèche franchement, me faisant sursauter. Je sens s’évanouir ce nœud désagréable qui me nouait le ventre chaque fois qu’un homme me prenait, et monter de mes reins une marée intense, prête à déferler sur son générateur ; je dis des mots sans sens, mon souffle s’accélère, et, comme indifférent, l’homme d’entre mes cuisses active ses succions, rend ses pressions intenses sur mes poitrine durcie. Tsunami qui déferle, corps qui se raidit, le flot de ma jouissance jaillit, je hurle, j’inonde son ...
«12...121314...24»