Du temps perdu (1)
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
Gay
Auteur: Arouse, Source: Xstory
... tiens, ici, lui dis-je en désignant ma table basse.
Il entra en refermant la porte, et la musique assourdissante devint un murmure étouffé. Me tournant dans sa direction, je lui souris instinctivement. L’instant d’après, nous nous jetions l’un contre l’autre, nos langues se cherchant avec envie. Il me plaqua contre une armoire, retirant ma chemise. J’enlevais mon pantalon et m’appuyai contre le panneau de bois, dos à lui. Nous n’avions pas échangé un mot, et je poussais mon premier râle quand je sentis son gland écarter mon anus. Sa queue rentra en moi avec une facilité déconcertante tandis que je beuglais d’extase. Ses coups de bassins débutèrent, faisant trembler toute la commode. Tournant la tête pour l’admirer, il m’adressa un sourire insolant, sa cravate battant en cadence contre son torse. Il me besognait avec tant de vigueur que je finis par glisser contre le sol. Loin de nous stopper, je me mis à quatre pattes et il continua de me prendre en levrette. Il avait ouvert sa chemise, dévoilant son torse.
C’était un bonheur de sentir sa grosse queue, ses mains chaudes sur mes hanches, le bruit de son bas-ventre claquant contre mes fesses. Il se pencha, sa courte bedaine couverte de sueur frottant mon dos :
— C’est ça que tu voulais.
— Oui.
Il se redressa, me reprenant de plus belle. Je profitais de chaque assaut, me régalant de sa hardiesse dont je fantasmais depuis tant d’années, mes belles résolutions à son propos soudainement envolées. Les coups de ...
... bassins cessèrent. Thomas soufflait comme un bœuf. Il s’affala sur moi, embrassant ma nuque, avant de me faire basculer en cuillère, sa verge toujours en moi. Là, il chercha mon sexe, tendu de désir, et commença à me branler. C’était la première fois qu’il prenait ma queue entre ses mains. Il était un peu gauche, mais cela ne faisait qu’ajouter au plaisir. Nous étions allongés sur le côté, à même le sol, et il continuait de me prendre tout en me masturbant. Mes yeux roulaient tant l’instant était bon. Je me sentis arriver au bout, mais Thomas me dit :
— Attends.
— Je... Tu vas me faire jouir.
— Non, attends.
Il ralentit le rythme. J’étais au supplice.
— C’est trop bon. Tu es trop... Han.
— Je suis trop quoi ?
— Je vais venir.
— Attends. Je suis trop quoi ?
— Tu m’excites trop.
— Dis-le que je suis parfait.
— Tu es parfait !
Ma réponse se mua en cri tandis que Thomas me donna un monumental coup de pine tout en gémissant dans mon oreille. Je sentis son foutre chaud en moi et je jouis dans sa main. Nous nous embrassâmes tandis que venions. Nous restâmes ensuite allongés un moment. Je ne voulais sentir son sexe débander en moi. Je ne voulais pas que l’instant se finisse. Il finit se retirer et s’étendre sur le dos. J’appréhendais la suite. Thomas tourna finalement son regard vers moi et me dit :
— Bon. Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
Quelques mois plus tard, il divorçait. Nous restâmes chastes tout le long de la procédure. Il ne voulait pas ...