Du temps perdu (1)
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
Gay
Auteur: Arouse, Source: Xstory
... peu.
J’étais davantage émoustillé par la bosse qui commençait à se former dans son maillot de bain que par les images qu’il me présentait. Il y avait un moment déjà que je me savais attiré par le masculin. J’avais même batifolé avec quelques garçons, rien de bien sérieux, mais je n’étais plus profane en la matière. Thomas se mit à tourner les pages, respirant bruyamment, son excitation allant grandissant, et la mienne également incidemment. Il prit mon mutisme pour une réaction identique à la sienne, et il continua de tourner les pages alors que nous nous asseyons sur le lit. Déglutissant, je le vis se caresser machinalement, et je me mis à me masturber lentement à mon tour. Je n’étais pas spécialement attiré par Thomas, mais je trouvais une saveur érotique au moment. Il fit alors sortir son membre de son maillot de bain. Je jetais un œil à ce que Thomas tenait entre ses mains et j’eus un haussement de sourcils impressionné. Mon camarade de classe était bigrement doté.
Sans être gigantesque, sa verge était épaisse, trapue et ornée de nombreux grains de beauté qui lui donnaient un aspect très viril. Mon cœur battait à présent la chamade, et Thomas semblait surexcité. Je proposais sans réfléchir :
— Tu veux que je te suce ?
Il m’adressa un regard incrédule :
— Quoi ?
— Juste un peu.
— Pourquoi tu veux faire ça ?
— Ça restera entre nous.
Il voulut répondre quelque chose, mais referma sa bouche. J’en profitais pour renchérir :
— Tu t’es déjà fait ...
... sucer ?
— Non.
— Tu peux continuer à regarder le magazine si tu veux.
Je me mis à genoux. Il tenait toujours son sexe tendu entre ses mains, son gland bien lisse face à moi. Je le pris en bouche. Thomas eut un orgasme silencieux, ouvrant grand sa bouche. Il retira sa main et je me mis à le sucer. Sa queue était vraiment agréable, sa peau était douce et son gland lisse se décalottait avec fermeté. Thomas restait silencieux, fixant le magazine en respirant bruyamment. Je me découvrais surexcité de dépuceler la grosse queue vigoureuse de ce fils à papa. Je me mis à l’enfoncer dans ma bouche. Thomas se mit à bander dur et me supplia :
— Attends, attends...
Je pris sa bite plus loin en bouche, son gland dans mon gosier. Ce fut trop lui :
— Oh putain. Oh. Oh !
Et il jouit dans ma bouche. Je sentis son sperme fluide et salé couler dans ma gorge. Je le laissais juter entièrement, avant de me lever pour partir à la salle de bain cracher et me rincer la bouche. Quand je revins, il avait rangé les magazines et semblait nerveux. Son visage était rouge vif.
— Tu ne racontes ça à personne.
— Non, ne t’inquiète pas.
Il acquiesça, le regard vague. Nous descendîmes, mais il semblait ailleurs. Je partis peu de temps après, me figurant qu’il voulait peut-être rester un peu seul. Thomas ne me réinvita plus jamais chez lui.
En vérité, après le lycée, je n’eus plus de nouvelles de lui. Je me figurais que j’avais sans doute chamboulé un peu trop le monde rigide dans ...