Du temps perdu (1)
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
Gay
Auteur: Arouse, Source: Xstory
... Son sexe était tendu, déformant son pantalon. Défaisant sa ceinture, baissant son caleçon, je le retournais face à son bureau tout en commençant à le branler. Tandis qu’il gémissait, je lui léchais l’oreille, lui mordait le cou et lui pinçait ses tétons. Je pouvais percevoir la lutte intérieure de Thomas, et sentir le plaisir qu’il prenait. Il y avait quelque chose de grisant de voir la domination changer de camp, et j’avais comme un besoin de revanche.
Fouillant dans la poche intérieure de ma veste, j’y trouvais un préservatif que je gardais là. Recouvrant ma bite de la capote, je l’approchais de ses fesses poilues.
— Non, attends. Je...
Je me penchais sur lui pour l’embrasser. Il me murmura alors :
— Vas-y.
Ma queue était bien moins impressionnante que la sienne, et c’était tant mieux. Son anus était crispé, et je m’efforçais d’y aller doucement. Je fis bien mon œuvre, car en quelques instants, Thomas était à moitié affalé sur son bureau, les yeux roulants de plaisir, se cambrant lorsque je bougeai doucement mon sexe. Il prit la pointe de sa cravate entre ses dents pour ne pas crier. Je souriais farouchement, enivré de voir son visage prétentieux à ma merci. Mais je ne pouvais m’empêcher de le contempler, le trouvant toujours aussi élégant dans son costume malgré le fait qu’il était en train de se faire prendre sur son bureau. Son téléphone sonna alors.
— Je... Han ! Attends, je dois répondre.
Il ne fit cependant rien pour mettre fin à notre ébat. ...
... D’une main, il appuya sur le bouton du haut-parleur et une voix grave retentit :
— Thomas ? J’aurais besoin de ton aide sur le dossier de demain.
— Oui, je te rappelle bientôt. Han !
Je venais de lui attraper ses bourses pour les caresser doucement. Il se contracta et fit rentrer ma queue davantage, grognant en réaction. La voix du téléphone reprit :
— Je t’entends mal, la connexion n’est pas terrible.
Je m’avançais un peu plus en lui. Thomas ouvrit la bouche, les yeux mi-clos, faisant son possible pour rester silencieux.
— Oui, je... Oh.
Je me mis à aller et venir doucement, Thomas s’était agrippé au bureau. D’une voix calme, il réussit à articuler :
— Je te rappelle.
Et il rapprocha. Aussitôt, il expira un grand coup, haletant, se mordant les lèvres de plaisir. Je lui attrapais sa queue trapue et me mis à le masturber. La joue appuyée contre le bureau, il subissait mes assauts jusqu’à ce que sa verge finisse par se raidir et qu’un sperme clair gicle entre mes doigts. Tout en profitant du spectacle, je me sentis alors jouir à mon tour. Je retirai ma bite, lui arrachant une grimace. Il s’affala, exsangue, sur son fauteuil, sa bite dégoulinant encore de sperme, levant sur moi un regard fatigué. Il me dit d’une voix épuisée :
— Pourquoi est-ce que ça arrive à chaque fois ?
Je haussais les épaules, me rhabillant et me débarrassant de la capote.
— Je pense qu’il n’y a que toi qui sais.
— Je... Ce n’est pas aussi simple, tu sais. Mets-toi à ma ...