1. Alphonsine


    Datte: 15/11/2018, Catégories: fh, ff, grosseins, taille, Oral pénétratio, Auteur: Analphabetix, Source: Revebebe

    ... Fonfon, ce n’est pas non plus le genre de fille que je présenterais un jour à mes parents, et encore moins à mes copains, j’aurais vraiment trop la honte. D’accord pour un petit coup vite fait, de temps en temps, mais alors discrètement, et juste pour le plaisir. Je me sens vraiment salaud de raisonner ainsi. Mais je suis un salaud et il faut toujours assumer ce que l’on est vraiment.
    
    Et que dire de ma considération pour Julie, à qui j’ai fait des déclarations d’amour enflammées, à qui j’ai promis fidélité éternelle, et que je trompe avec la première venue… je ne suis vraiment qu’une sale ordure.
    
    Faute de pouvoir justifier moralement mon attitude, je me dis qu’après tout, un coup de bite de temps en temps, ça ne peut faire de mal à personne. Je sais que je vais y aller à cette adresse, et plutôt deux fois qu’une, alors je la garde précieusement dans mon portefeuille.
    
    Il ne me faut d’ailleurs pas trois jours pour que l’envie se fasse pressente. Ces temps-ci, Julie a ses ragnagnas, nous n’avons donc pas fait l’amour et j’ai eu tout le temps pour me requinquer.
    
    Le pire c’est qu’un soir, alors que je suis tendrement blotti contre ma tendre et douce qui commence à ronfler, je n’arrête pas de penser à Fonfon, à ses gros seins, à sa dégaine de hard-rockeuse, à son look de camionneur. Et j’en bande comme un malade, ma queue délicatement plaquée contre le corps chaud de Julie.
    
    Quelle manie elle a, d’ailleurs, cette petite pimbêche, de toujours se parfumer en abondance, ...
    ... elle veut toujours sentir bon ! Mais ses parfums entêtants masquent la moindre effluve animale. Et voilà que j’en suis à regretter la sueur moite de mon imposante maîtresse, je file vraiment un très mauvais coton.
    
    Depuis cette histoire dans le sous-sol de l’Université, je me sentais très perturbé, pour ne pas dire complètement hors de mes pompes, je n’arrivais plus à bosser. Un peu comme si… un peu comme si j’étais tombé amoureux. Oh non, pas ça, quand même pas, pas amoureux de cette grande fille bourrue ! Et puis, c’était seulement des envies sexuelles, des envies très fortes qui m’accaparaient tout l’esprit.
    
    Le fait est que je ne pensais plus qu’à elle. Elle n’était même pas jolie, avec ses traits épais et son visage trop rond. Et puis, ses incroyables cheveux gras, c’était un vrai calvaire. Mais le pire, encore, c’était évidemment son imposante carrure de catcheuse. N’empêche qu’elle m’avait quand même sacrément excité. Et que je m’imaginais déjà en train d’emménager avec elle…
    
    Je retournais tout ça dans ma tête, sans parvenir à faire une synthèse. J’étais avec deux potes à la cafet’, mais j’avais la tête ailleurs. Je ne l’avais pas revue depuis notre incartade. Elle n’était pas reparue à la fac. Il faut dire que les cours d’éthologie, c’était plutôt en début de semaine.
    
    Pour être vraiment honnête, elle commençait très sérieusement à me manquer.
    
    — Alors, qu’est-ce que tu fais ce soir ?
    
    Ce devait être Mathieu qui parlait.
    
    — …
    — Eh, oh, Simon, tu dors ? ...
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