1. Alphonsine


    Datte: 15/11/2018, Catégories: fh, ff, grosseins, taille, Oral pénétratio, Auteur: Analphabetix, Source: Revebebe

    ... que je jouisse à mon tour et que je m’épanche en elle en abondance. Cinq minutes à peine se sont écoulées, mes cuisses sont déjà toutes trempées de sa mouille. Elle se sort, prend ma queue gluante et se penche vers elle pour la lécher. Elle l’engloutit en l’aspirant, particulièrement vorace et excitée.
    
    Elle me pompe un long moment avec un appétit féroce, s’arrêtant à peine quand elle entend une porte claquer à quelques mètres de nous. Si quelqu’un s’avisait de regarder de ce côté, nous n’aurions pas le temps de cacher notre forfait.
    
    Je suis à nouveau dur et excité. Apparemment, c’était ça le but recherché. Elle se relève, se penche en avant vers le mur glacé, et tend son gros derrière vers moi en demandant :
    
    — Vas-y, baise-moi fort, j’ai très envie d’être défoncée.
    
    Debout derrière elle, je glisse entre ses fesses, m’agrippant à ses hanches, et j’entreprends de la limer, avec force, comme une bête. Alphonsine gémit, tend son cul vers ma queue, répond à mes coups de reins par des coups de fesses, et m’incite à aller encore plus fort. Je la bourre de bon cœur, elle en redemande. Elle grogne de plaisir, c’est vraiment un délice de la baiser.
    
    Une voiture passe dans l’allée, tout près de nous, probablement sans nous voir. Un moment d’inquiétude mais nous nous arrêtons à peine, juste une petite pause avant de mieux recommencer.
    
    Je sens sa jouissance venir, une jouissance bestiale et surpuissante à laquelle je ne peux pas résister. À mon tour, je viens en elle et ...
    ... la remplis de bonne grâce.
    
    — C’était bon ? T’as aimé ? me demande-t-elle en ramassant ses frusques.
    — Oui, vraiment génial, que je réponds, avec enthousiasme.
    
    D’ailleurs je le pense vraiment, j’ai rarement eu d’aussi bonnes sensations, même avec des filles beaucoup plus belles et sexy.
    
    Elle se rhabille prestement, mais sans grâce. C’est de nouveau la grosse loubarde, bourrue et brutale. Elle griffonne quelque chose sur un bout de papier qu’elle a sorti de son blouson.
    
    — J’habite à cette adresse, c’est un squatt, tu demandes Fonfon. Les mecs t’indiqueront où je crèche… Tu peux m’appeler Fonfon, tous mes amis m’appellent Fonfon.
    
    Elle a l’air très pressée, elle est déjà partie.
    
    — Mais quand ça, Fonfon ? Quand est-ce que je peux venir ? que je lui crie, en finissant de me rhabiller.
    — Ben. Quand tu veux, quand t’as envie…
    
    Et puis j’entends la porte de l’ascenseur se refermer derrière elle…
    
    Et bien ça alors, quelle histoire ! Et comment vais-je annoncer ça à ma copine du moment ? Non, je ne vais rien lui dire, c’est évident.
    
    Nous avons rendez-vous le soir même avec Julie, une petite soirée sympa en tête-à-tête. Pourtant, en ce qui me concerne, je ne me sens plus autant excité par cette rencontre. Je n’ai plus trop envie de ce moment intime. Je me sens à la fois comblé, fatigué et démotivé.
    
    Objectivement, entre Julie et Alphonsine, il n’y a pas photo. Julie est d’une beauté à couper le souffle mais Fonfon fait beaucoup mieux l’amour. D’un autre côté, ...
«1...345...10»