Alphonsine
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
fh,
ff,
grosseins,
taille,
Oral
pénétratio,
Auteur: Analphabetix, Source: Revebebe
... l’endroit, elle accapare pratiquement toute la place. Je me colle au fond, contre la paroi. Très impressionnante, cette grosse déménageuse baraquée qui pourrait vous décalquer d’un simple coup de pogne !
Elle n’est pas du tout parfumée et son odeur corporelle est très forte. Ce sont plutôt des relents de sueur qui se dégagent de son corps, des senteurs fortes et acidulées. Il faut dire, à sa décharge, que c’est une très belle journée de printemps, avec une chaleur quasi estivale. Et, avec son gros cuir, elle doit véritablement crever de chaud.
Je ne l’ai jamais côtoyée d’aussi près. Mais je suis réellement fasciné par sa grosse poitrine, elle déborde de son blouson. Tandis que l’ascenseur s’élance, je ne peux m’empêcher, à nouveau, de mater ses miches. Dire que, sans ces protubérances mammaires, elle aurait tout du camionneur !
Pas un mot n’est échangé, nous arrivons enfin au troisième. La porte s’ouvre, mais elle ne bouge pas d’un pouce et ne s’écarte pas non plus pour me laisser passer. Alors qu’un «Pardon» peu convaincant s’évapore vainement dans ma bouche, elle me fait face, balaise, imposante, gargantuesque :
— Tu me branches vraiment, mec, m’annonce-t-elle de but en blanc. J’te kiffe, grave ! ajoute-t-elle, sans sourciller. J’aime les petits gars timides comme toi. Et, visiblement, je n’ai pas l’air, non plus, de te déplaire.
Pour être directe, elle est directe. Et tout ça en me regardant droit dans les yeux. Elle va droit au but la bougresse. Et, pour ...
... moi, quelle révélation !
Sans trop attendre une réponse qui ne vient pas, elle appuie de suite sur –2 (deuxième sous-sol). La porte se referme derrière elle, je suis pétrifié par la vivacité de cette matrone en rut. J’ai beau me creuser le ciboulot, je ne trouve vraiment rien à répondre, mais je me mets instantanément à bander, les yeux toujours rivés sur ses gros seins provocants, mais n’osant pas trop affronter son regard.
C’est la première fois que je me fais ainsi draguer, de façon aussi ouverte et je trouve cela vraiment très agréable. Pour sûr que je suis d’accord, et plutôt deux fois qu’une. Elle a envie de baiser, elle le dit. Et moi aussi j’en ai très envie. Elle l’a deviné, elle est perspicace. Il n’y a pas de problème, nous sommes vraiment en phase.
Sa main se pose carrément entre mes cuisses, elle pétrit mon sexe avec ardeur : plus aucun doute sur ses intentions. Elle attaque sec la drôlesse.
— Mais, tu bandes fort, mon petit cochon. Je ne savais pas que je t’excitais autant. Elles te plaisent mes grosses doudounes ? Allez, avoue que tu les aimes, je t’ai vu, tu n’arrêtes pas de les mater.
— Oui, je te trouve très excitante, suis-je bien obligé d’admettre, avec un ton frisant la pédanterie débile.
Mais c’est plus fort que moi, je bande comme un malade. Les effluves de ses dessous de bras sont de puissants aphrodisiaques auxquels nul ne pourrait résister bien longtemps. En tout cas, moi, ils m’enivrent et mettent mes sens en émoi.
— Si tu savais ...