Alphonsine
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
fh,
ff,
grosseins,
taille,
Oral
pénétratio,
Auteur: Analphabetix, Source: Revebebe
L’unique certitude, c’est qu’Alphonsine était avec nous à la fac… mais, en ce qui me concerne, j’ignorais vraiment dans quelle section. La seule chose que je savais d’elle, c’est qu’elle fréquentait assidûment nos cours d’éthologie, bien qu’elle ne fut manifestement pas inscrite pour ce cursus.
Alphonsine : déjà, avec un nom pareil, ses parents ne l’avaient pas ratée.
Qui plus est, elle avait un look d’enfer. Elle était plutôt costaude, je dirais même baraquée, plutôt grande et très large : large d’épaules, large de hanches, large de poitrine, large du bassin, large de partout en somme. Une vraie armoire à glace ! Baraquée, avec une grande gueule, et toujours harnachée de son vieux blouson de cuir élimé qui lui donnait un genre «loubarde de banlieue». Ce n’était d’ailleurs pas qu’une apparence, c’était vraiment une dé-fonceuse, un bélier, une cogneuse, le genre de gonzesse qui joue des coudes et tape du poing. Il valait mieux se tenir à distance et éviter de lui marcher sur les pieds. Très masculine dans son attitude, très physique et plutôt du genre hargneuse, dans chacun de ses gestes transparaissait une violence qui en imposait.
La fac, ce n’était pas trop son truc, elle détonnait dans le décor. D’ailleurs, entre deux cours, on ne la voyait pratiquement jamais, elle ne faisait que quelques très rares apparitions. « Bonjour », « Bonsoir ». À vrai dire, même pas, elle n’était pas bavarde : beaucoup plus des grognements, des borborygmes, ou au mieux des signes de ...
... tête.
Dans les amphis, elle se mettait souvent toute seule, en général bien au fond, vraiment à l’écart des autres. Elle n’avait que deux ou trois copines, toutes aussi atypiques qu’elle : une très grande blonde, rachitique, squelettique, filandreuse, souffreteuse, qui ne pipait jamais mot à qui que ce soit, et une femme, la trentaine bien tassée, qui paraissait passablement folasse.
D’aucuns avaient bien essayé de les brancher à la cafet’, mais, nada, que dalle, elles faisaient bande à part. Et, une fois qu’on en avait pris conscience, on n’en avait, à vrai dire, plus grand chose à foutre.
Toujours est-il qu’un jour, je me retrouve à côté d’elle devant la porte de l’ascenseur. Elle était arrivée comme une furie et m’avait presque poussé du coude.
— Salut (avec un grand sourire).
— Salut (avec un ton bourru).
Et nous attendons comme deux cons que la porte veuille bien s’ouvrir.
— Tu vas au cours de physio ? crois-je utile de demander pour détendre l’atmosphère.
— Non, réplique-t-elle sèchement, avec une pointe d’agacement, pour clôturer définitivement cette discussion futile.
Je trouve le temps bien long, et cette porte qui ne s’ouvre pas ! Je reluque discrètement la poitrine de ma voisine. C’est vrai qu’elle en a une plutôt grosse. Je ne l’avais encore jamais vue sous cet angle. Ses seins déforment son blouson comme deux grosses boules obscènes.
Ce n’est pas trop tôt, l’ascenseur est enfin arrivé à notre étage.
Vu son gabarit et la petitesse de ...