1. Du fantasme d’être violée à la réalité.


    Datte: 24/10/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Vos histoires Auteur: Chloe, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... sexe anal, désormais, je compte ne plus m’en priver. J’ai joui de partout comme jamais dans ma vie. J’ai du sang et du sperme qui coulent encore de mes orifices (hum que du bonheur). Je me mets dans mon lit, sans me doucher, je sens la baise et le mâle, je me touche une bonne partie de la nuit, en me remémorant ma folle escapade.
    
    Je suis revenue le voir tous les soirs. Il m’a à chaque fois maltraitée, comme je l’aime. Il m’a même uriné dessus, il m’a pissé à l’intérieur du vagin, de l’anus, il me l’a même fait boire. Une fois, il m’a attachée et fessée la chatte avec sa ceinture jusqu’à la jouissance. Une autre, tout en me pénétrant par-devant ou par-derrière, il m’a introduit des objets dans le trou qui était libre (le manche de sa truelle, une bouteille de bière, un énorme concombre…), à chaque fois, c'était merveilleux. Il est reparti le lundi suivant, il m’a promis de me recontacter lorsqu’il sera de passage dans la région.
    
    Aujourd’hui, lorsque mon mari s’absente, quelques fois, je sors rôder le soir, à la recherche d’un agresseur. Pendant longtemps, je suis rentrée bredouille (mais ça m’excitait quand même), jusqu’à faire mouche presque à chaque fois maintenant, avec l’expérience. J’ai appris à repérer les hommes en manque, jouer la fille saoule ou ...
    ... perdue, toujours sans culotte (ça les excite énormément quand ils le découvrent, ils deviennent plus violents), faire semblant de dormir sur un banc en écartant mes jambes et en exposant mon minou rose et épilé (ça ne rate jamais) … J’ai été violée plusieurs fois depuis (jamais aussi longtemps qu’avec Théodore, mais ils y en avaient qui étaient très bien montés). Même quand c’est très rapide (les jeunes en général ou quand ils sont trop alcoolisés) ou parfois super glauque (sous un pont, en double pénétration pour la première fois, avec deux SDF), je jouis à chaque fois. Plus c’est sale, plus je me sens euphorique.
    
    Je ne fais pas la promotion du viol, loin de moi cette idée : aucune fille, ne sort dans la rue, le soir, pour chercher à se faire violer. Cela reste quelque chose de très traumatisant pour toutes les femmes qui le subissent. Mais en ce qui me concerne, j’en suis devenue addict. Réellement, on ne peut appeler cela un viol, puisque je suis consentante et que je provoque la situation à chaque fois.
    
    La prochaine histoire, je vous raconterais, si vous le voulez bien sûr, comment, lorsque je suis allé voir ma sœur, dans une autre ville, une bande de jeunes d’une cité ont abusé de moi dans une cave, en me faisant subir une tournante toute une après-midi. 
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