1. Du fantasme d’être violée à la réalité.


    Datte: 24/10/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Vos histoires Auteur: Chloe, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... lubrifie mon oignon avec de l’huile alimentaire en y enfonçant ses doigts. Il s’étale sur moi, en me bloquant avec ses bras comme un étau. Je sens le bout de sa massue se placer sur ma rondelle, il s’enfonce doucement. Je pleure, il me rassure en me disant que tout ira bien, il me lèche l’oreille, la mordille, m’embrasse le cou, me parle comme à une catin. Il m’explique, entre autres, que mon mari sera mécontent de ne plus sentir mes trous après son passage, mais aura gagné une femme soumise dorénavant. Toutes ses paroles m’excitent au plus haut point et je me sens de plus en plus détendue.
    
    Pendant qu’il me susurre ces mots, il se plante en moi de plus en plus, je ne peux pas bouger d’un centimètre. Il me déchire, mais comme tout à l’heure, je commence à ressentir une charge électrique parcourir tout mon corps, beaucoup plus intense cette fois. Je me mets à jouir du cul !! Je ne pensais pas que c’était possible ! Il le remarque et en profite pour me pénétrer jusqu’à la garde, sans oublier de me le préciser (incroyable, il a tout dedans). À ce moment, mes yeux sortent de leurs orbites, j’ai l’impression que je vais déféquer, j’ai du mal à respirer, je me suis évanouie un instant, le noir total. Lorsque je reprends mes esprits, il ricane en me disant : tu vois, tu aimes plus par le cul parce que tu es une putain. Il me met sur le côté, lui aussi, continue de me sodomiser très fort, moi orgasme après orgasme, je me découvre. Il se retourne sur le dos, me soulève et me ...
    ... positionne de dos sur lui, puis me fait asseoir dessus, de dos, ensuite de face. Bizarrement, bien que vraiment vierge par-derrière, il n’a aucun mal à s’enfoncer. Ça glisse trop bien, je ne sens plus que l’ivresse que me procure ce phallus divin, presque plus aucune douleur. Il me renverse pour m’enculer en missionnaire, il agrippe mes fesses pour mieux les écarter, je lui dis stop, c'est trop. Il pousse à fond pour se décharger au plus profond de mes entrailles (sa saillie a duré plus longtemps que tout à l’heure). 
    Je tremble pendant quelques instants, je suis vidée, je ne sens plus mes jambes. J’ai du mal à bouger, je me lève difficilement, je lui demande si je peux partir, il est 22h30, il hoche la tête en signe de oui. Ouf, je suis enfin délivrée de mon bourreau, il a terminé ses sévices sur mon corps. Je retire sa ceinture, remets ma jupe et mon haut (il récupère mon string en souvenir), prends mon sac et me dirige vers la porte. Il me suit tout nu, la bite pendante et toujours aussi merveilleuse à admirer. Il ouvre la porte à clé, m’embrasse à en perdre haleine et me balance, en me tapant les fesses : moi ici jusqu’à dimanche soir, si toi avoir encore besoin d’un vrai homme.
    
    Je rentre dans ma voiture, j’ai du mal à m’asseoir, mon derrière est en feu. Je retourne chez moi, je suis aux anges. J’ai réalisé mes deux fantasmes : j’ai excité un homme au point de me violer et je me suis faite baiser par la plus grosse queue que j’aurais pu imaginer. De plus, j’ai découvert le ...
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