Du fantasme d’être violée à la réalité.
Datte: 24/10/2022,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Vos histoires
Auteur: Chloe, Source: Histoires-de-Sexe.club
... Il me retourne, m’écarte un peu les jambes et s’enfonce dans mon tunnel ardent. Il m’embrasse, me crache à la figure, m’étouffe, me brutalise, je me débats, je sanglote, je braille même, mais j’adore ça, je continue de jouir des va-et-vient que m’inflige cet ours. Il me soulève comme une plume, met mes jambes autour de sa taille, continue son pilonnage, moi bien sûr, je continue de savourer cette force de la nature (j’avais déjà vu cette position dans des vidéos sur internet, mais sans jamais l’avoir essayée). Il m’a labouré vigoureusement pendant au moins 30 minutes, il m’a pris dans tous les sens, sur le sol froid (ce qui amplifie ses mouvements et mes sensations) : il m’a fait découvrir le Kamasutra : moi en levrette et lui debout sur moi, lui sur le dos et moi sur lui sur le dos aussi, moi sur le dos jambes fermées et lui sur moi, et les classiques, levrette, moi couchée sur le ventre et lui avec tout son poids qui m’écrase (ma préférée), moi assise sur lui de face et de dos… Un vrai mâle, il ne m’a pas menti, j’ai l’impression d’être son objet, il se sert de moi pour assouvir ses besoins. Il continue, jusqu’à ensemencer mon utérus, en missionnaire. J’ai eu minimum deux orgasmes, sinon plus, dans chacune des positions. Je n’ai jamais ressenti autant de plaisir physique et psychique de ma vie. Malgré ça, je continue d’être terrorisée car je ne sais pas comment tout cela va se terminer. Il se retourne à côté de moi et me libère, je respire enfin normalement (bien que ...
... j’aime sentir son poids lourd sur moi). Je reste impuissante de pouvoir me lever, il a littéralement détruit mon sexe (mais que c’était vertigineux), j’y jette un coup d’œil, il est béant, j’ai du sperme à profusion qui en coule mais aussi du sang, mon Dieu ! Il m’a dépucelée une seconde fois !!
Je me lève, je ramasse ce qui reste de mes habits. Au moment d’enlever sa ceinture autour de mon cou, il m’ordonne de m’arrêter, il n’en a pas fini avec moi. Je panique, je le supplie de me laisser partir en lui assurant que je ne dirais rien à personne, il me répond : je sais que toi rien dire, toi venir pour ma grosse bite, moi t’avoir vu tout à l’heure regarder, descend avec moi à la cave, il y a mon lit, je vais baiser ton gros cul. Je panique, je lui explique que mon anus est vierge (j’ai toujours refusé la sodomie avec mon mari, par dégoût), je lui dis qu’avec son monstre, ce sera impossible, il va m’envoyer à l’hôpital. Il me donne des coups partout, il est très fort, il me fait mal. Il attrape sa ceinture et me traîne en laisse, comme l’esclave que je suis devenue. Je déballe les marches une à une, des deux étages, à quatre pattes, jusqu’à arriver dans sa chambre. Il me soulève et me jette sur le lit, je commence vraiment à regretter, pensant que la situation dégénère complètement. Il va y avoir des conséquences graves sur mon corps, mon mari en découvrira les séquelles et mon infidélité par la même occasion. Le polonais, insensible à mes jérémiades, me retourne sur le ventre, ...