1. Du fantasme d’être violée à la réalité.


    Datte: 24/10/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Vos histoires Auteur: Chloe, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... tout nu en train de s’essuyer de la douche. Il ne m’a pas vu, je le contemple, il dégage une virilité à laquelle je suis loin d’être insensible. Il dépose sa serviette et expose un pénis démesuré, accompagné de la paire de testicules qui va avec : bien qu’au repos, il lui dépasse largement la moitié de la cuisse et le gaillard fait presque deux mètres ! En plus de sa longueur impressionnante, il est d’une épaisseur incroyable, je suis complètement troublée. Je recule doucement sans bruit, remonte les escaliers, je sens mon visage rougir et une chaleur monter entre mes cuisses. Je ressors de la maison, gênée par la situation, j’explique à Paul que je dois partir à cause d’une urgence. Il me rassure en me disant que Théodore, (c’est le polonais) habite sur place jusqu’à la fin de la semaine (on est mercredi) et que je peux repasser quand je le veux. Je le remercie, monte dans ma voiture, démarre, après quelques mètres, me touche l’entre-jambe, je suis gorgée de cyprine. Je n’arrive pas en enlever l’image de ce magnifique homme puissant, avec son sexe surdimensionné, lui m’a-t-il vu ? je ne le pense pas. Arrivée chez moi, je vais dans ma chambre et me masturbe à en perdre connaissance.
    
    Le soir venu, les enfants étant chez leurs grands-parents, mon mari à Dubaï, j’ai eu une idée totalement incongrue. Puisque Théodore passe la nuit seul dans la villa, je vais y retourner et prétexter avoir oublié quelque chose. Je ne sais pas pourquoi je veux faire ça, mais je trouve cette ...
    ... situation très excitante. Avant de m’habiller, je téléphone à mon mari, en appel vidéo, pour lui dire que je vais au cinéma ; en fait, je m’assure simplement qu’il n’essaiera pas de me joindre pendant au moins deux heures. Évidemment, je mets de la lingerie super sexy : un string ficelle rouge transparent, des bas mi-cuisse blancs, un porte-jarretelles rouge, une courte jupe volante à carreaux rouge et blanc, un haut blanc avec un décolleté plongeant sans soutien-gorge (ma poitrine encore ferme me le permet). Après mon maquillage, je mets un imperméable, pour cacher ma tenue aguichante, un voisin pourrait me voir (j’ai pris des talons aiguilles rouges dans un sac et sorts avec des sandales). Je monte dans ma voiture, je me dirige vers la villa. Je commence à grelotter, j’ai froid (c’est l’été pourtant). Je ne sais pas ce qui va se passer, est-ce que je vais baiser avec l’ouvrier ? Je n’ai encore jamais trompé mon mari. Une multitude de questions se bousculent dans ma tête, mais je suis comme hypnotisée et guidée uniquement par mes hormones.
    
    Lorsque j’arrive, je suis tétanisée, je reste stationnée devant la porte, la rue est déserte, il est presque 21h00, je retire l’imper et chausse mes talons. Après un court instant, voyant qu’il n’y a pas de lumières, je me remets les idées en place et décide rapidement de rentrer chez moi. Je tourne le contact, démarre, quand, quelqu’un toque à ma fenêtre, je sursaute. C’est Théodore qui vient d’arriver, avec des courses à la main, sûrement ...
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