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La Veuve et le Bouc
Datte: 26/10/2018, Catégories: fh, couleurs, frousses, vengeance, pénétratio, fsodo, Humour Auteur: Ali Henné, Source: Revebebe
... les chevilles, la ramène vers lui et la maintient campée à quatre pattes au bord du matelas. Il tire vers le bas la culotte de coton, dévoilant un popotin rebondi. Il en a vus de mieux moulés mais celui-ci n’est pas mal du tout, même si le sexe n’est pas épilé contrairement à celui des petites Berbères dont il fait son ordinaire. Après tout peut-être que les veuves ne s’épilent pas : c’est la première de sa collection. Et cette toison intime a l’avantage de prouver que la rousseur de la dame ne doit rien aux artifices. Laissant là ces constatations prosaïques, Brahim pèse sur les reins de la vraie rousse pour la faire se cambrer et l’enfile sans sommation. Un glapissement outré répond à ce manque d’égard. La jeune femme avait pris son parti d’un règlement en nature, d’autant plus que le créancier était loin de lui déplaire. De toute façon, que refuser à un tueur à gage qui a décidé que c’était vous, le gage ? Alors autant profiter largement de l’occasion ! Mais elle s’attendait au minimum à quelques caresses préliminaires. À la place ce faune l’a assaillie ou plutôt l’a saillie comme le bouc auquel il ressemble et la martèle maintenant sans vergogne. À tout prendre, cela vaut quand même mieux que le mois de jeûne qu’elle vient de subir où seuls ses doigts sont venus parfois soulager sa solitude. Son capitaine est d’ailleurs un amant assez médiocre qu’elle a choisi par défaut dans cette campagne où les Européens baisables sont rarissimes. Dix fois moins doué que ce grand ...
... lascar dont le calibre rigide poursuit en elle sa course victorieuse et réveille des sensations oubliées. Et tant pis si ce n’est qu’un paysan du bled. Qui le saura ? Brahim se délecte de ses plongées répétées dans un fourreau brûlant dont il met l’étroitesse sur le compte d’une longue période d’inemploi (il ignore l’existence du capitaine). Cette veuve est peut-être une mégère, mais c’est un bon coup. Sa peau blanche et soyeuse parsemée de tavelures dégage une fragrance capiteuse. Et c’est une chaude femelle : ses protestations de tout à l’heure se sont transformées en acquiescements ravis mêlés de commentaires salés. Parce qu’en plus elle est bavarde, ce qui l’agace au plus haut point. Il se dégage, la retourne sur le dos, la tire au milieu du lit, se décide enfin à se débarrasser de son sarouel qu’il avait seulement baissé aux genoux. Assis au bord du lit, il joue avec les seins de la dame, palpe son ventre et ses cuisses. Elle s’est décidée à se taire et halète comme un soufflet de forge. Brahim a un dernier regard expert et approbateur sur les appas qui l’attendent. Il se soulève, couvre la veuve et la pénètre dans l’élan. Consentante, elle lève haut les cuisses et noue ses jambes autour de ses reins. C’est la manifestation d’une reddition sans condition mais aussi une façon de ralentir la cadence du mâle pour prolonger la durée de l’étreinte. Liant ses bras autour de son cou, elle cherche sa bouche qu’il lui refuse et souffle alors dans son oreille un « longtemps » ...