1. La Veuve et le Bouc


    Datte: 26/10/2018, Catégories: fh, couleurs, frousses, vengeance, pénétratio, fsodo, Humour Auteur: Ali Henné, Source: Revebebe

    ... en scooter. Pour toute réponse elle s’entend dire « Tu as promis, j’ai apporté la tête, et tu dois me donner ce que je veux ». Elle le menace d’appeler les gendarmes s’il insiste ce qui le fait carrément rigoler « Appelle, on ira en prison ensemble ».
    
    Il la saisit par un bras et sans tenir compte de ses piailleries mêlées de quelques grossièretés de poissarde (la dame a un vocabulaire fleuri qu’elle n’a pas dû acquérir chez les bonnes Sœurs), pousse au hasard une porte de la salle à manger. Elle donne sur un escalier qu’il escalade jusqu’au palier de l’étage, la veuve toujours en remorque. La première porte qu’il rencontre est celle d’une salle de bain, la deuxième ouvre sur un débarras, la troisième est celle de la chambre. Entre deux protestations la veuve a tenté de poursuivre les enchères : au fil des marches le scooter s’est transformé en moto, puis en voiture. En tirant sa proie dans la chambre Brahim lui souffle dans l’oreille « même pas un camion », ce qui déclenche chez elle un éclat de rire strident inattendu.
    
    La pièce est vaste et claire, avec en son centre un grand lit encadré d’un joli bonheur-du-jour et d’un gros fauteuil de cuir. Brahim lâche le poignet de la veuve et s’enfonce dans le fauteuil. Elle est debout devant lui en se demandant comment il va s’y prendre. De la manière la plus simple : d’un geste sans équivoque il lui intime de trousser sa jupe.
    
    Elle secoue négativement la tête avec résolution. Lui se contente de la regarder en souriant et de ...
    ... refaire le même geste accompagné cette fois d’un claquement de doigts et de ce commentaire prononcé calmement « Tu as promis ce que je voudrais contre la tête. Tu as la tête. Ce que je veux, c’est te niquer. Déshabille-toi ou je m’en charge » Il est passé à l’arabe en cours de phrase et a employé pour désigner l’acte sexuel un mot que tous les Européens comprennent et dont la traduction ne rend qu’imparfaitement la verdeur. La veuve est manifestement estomaquée par la crudité de l’injonction.
    
    Il s’attend à ce qu’elle lui saute dessus toutes griffes dehors mais elle se domine, hésite encore un instant. Elle finit par se décider à dénouer sa ceinture en affichant un sourire de défi. Quelques boutons et quelques agrafes sautent. La jupe glisse au sol, bientôt rejointe par le corsage. La patronne du domaine n’a plus sur elle qu’un soutien-gorge et un grand slip blanc en coton. Brahim a rarement reluqué des rondeurs aussi appétissantes. D’un nouveau signe il lui intime de dénuder sa poitrine. Elle s’exécute en prenant tout son temps puis croise ses bras devant son buste sans trop d’empressement.
    
    Au passage son vis-à-vis a pu se régaler de la vue de deux seins lourds aux tétins mauves érigés. Toujours souriant il écarte la braguette de son sarouel et exhibe une superbe érection qui fait pousser à la jeune femme un petit cri scandalisé de vaudeville. Elle se retourne vers le lit et tente de se réfugier sous les draps. Ce qui ne convient pas à son partenaire qui la saisit par ...
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