1. Le bon Samaritain


    Datte: 08/02/2018, Catégories: fh, fagée, gros(ses), grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, campagne, noculotte, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, uro, Humour fplusag, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... prévu pour mes premières vacances d’homme seul. Elle n’attendit pas ma réponse : elle me proposa de l’accompagner passer une dizaine de jours en Espagne, dans l’appartement que sa sœur aînée lui laissait gratuitement. Je lui ai tout de suite fait remarquer qu’une cohabitation aussi intime risquait de provoquer, de ma part, des écarts de conduite que je ne pourrais pas forcément maîtriser.
    
    — Mais je l’espère bien ! C’est d’ailleurs pour ça que je t’invite. On va même vérifier, et tout de suite, que tu es en bon état de fonctionnement.
    
    C’est ainsi que je me suis retrouvé tout nu, sur une couverture posée sur la pelouse, en plein soleil. Brigitte se montra exigeante dans les préliminaires ; elle eut la politesse de me prouver sa gratitude, généreusement. Puis elle s’éclipsa un instant. Elle revint avec une boite de préservatifs toute neuve et un pot de miel crétois (le meilleur). Elle trempa deux doigts dans le miel, me le fit goûter et, devant mon air abasourdi, éclata de rire. Madame se lubrifiait le trou du cul avec la matière grasse et sucrée.
    
    — Tu as l’air vraiment choqué, mon pauvre Pierre. Rassure-toi, tu auras tout le temps, en Espagne, de me prouver que tu sais faire jouir une femme avec la méthode traditionnelle. Aujourd’hui, excuse ma grossièreté, je veux que tu m’encules… Je n’ai jamais osé le proposer à Xavier. Cette ordure ne me l’a jamais demandé non plus, d’ailleurs. Je ne veux pas mourir idiote et avoir des regrets dans un centre de ...
    ... gériatrie…
    
    J’avouai que j’étais complètement néophyte en la matière, mais elle ne changea pas d’avis. Même en rajoutant du miel, le trou du cul de Brigitte refusa obstinément toute dilatation. Je ne pus introduire que le tiers de mon membre et éjaculer, à l’étroit, malgré les injonctions de ma partenaire grimaçante, déçue par son anatomie rebelle.
    
    Je ne comprends toujours pas pourquoi perdure le phantasme masculin de la sodomie de la femelle. J’en fis part à ma partenaire : je n’éprouvais pas le besoin de prouver ma virilité masculine en enculant une dame, il y avait bien d’autres combats à mener pour que je me sente fier d’être un homme. En plus, d’un point de vue purement technique, je m’étais senti à l’étroit dans cet orifice. Une sorte de claustrophobie du phallus peut-être ?
    
    Brigitte n’en avait rien à cirer de ma psychologie de bistrot, d’autant que sa sœur aînée lui avait confié que son premier mari exigeait une sodomie trimestrielle et que, ma foi, cela lui avait procuré des sensations… intéressantes ! Brigitte comptait bien renouveler l’expérience plus tard.
    
    L’eau de la douche de jardin était tiède. Ma petite Polonaise dodue, le corps nu rutilant d’une sueur irisée par le soleil, s’était éloignée vers l’allée de gravillons. Ignorant complètement ma présence, elle se mit de profil, fléchit les jambes, inclina légèrement le buste, écarta les cuisses et pissa dru, très dru, comme un jeune poulain. Puis elle me remplaça sous la douche, prenant garde à ne pas se mouiller les ...