1. Le bon Samaritain


    Datte: 08/02/2018, Catégories: fh, fagée, gros(ses), grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, campagne, noculotte, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, uro, Humour fplusag, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... fait, et de la lui envoyer, via Internet. Le seul problème, c’était que mon jeune chien n’aimait pas du tout, du tout, poser ! J’étais à genoux sur le sol, le reflex numérique collé à l’œil, mais mon malinois ne supportait pas que le gamin lui enlace le cou. Sabine prit alors les choses en main, car elle jugea que les caprices de son fils avaient assez duré. Elle s’accroupit à côté du chien, le mit en position assise avec mon aide, empoigna la touffe de poils sous sa gueule et lui caressa le dos avec son autre main.
    
    Je pris tout mon temps pour immortaliser la scène à plusieurs reprises, car le spectacle en valait la peine. Le devant de la jupe de Sabine reposait sagement sur ses genoux. Comme elle était accroupie, l’arrière de la jupe écrue traînait à terre, mais entre les deux parcelles de tissu une vue imprenable sur les dessous de la mère de famille me mit en émoi. En plus, comme le chien commençait à s’agiter, Sabine écarta les jambes pour stabiliser sa position et éviter la culbute. Des bottines noires à lacets laissaient échapper des bas satinés qui enveloppaient des jambes musclées, aux cuisses imposantes. Vingt centimètres de chair blanche précédaient une petite culotte assez coquine.
    
    Je dis une petite culotte, mais en fait, elle était de grande taille, cette petite culotte ! Noire, parsemée de minuscules fleurs roses, elle offrait la particularité d’être constituée d’une maille fine qui la rendait quasiment transparente. Au-dessus du fond de culotte opaque, je ...
    ... distinguais parfaitement les deux renflements joufflus qui encerclaient la fente assez courte de la presque quadragénaire. La toison n’était pas épaisse, mais constituée de poils longs qui se vautraient en toute liberté, dépassant largement le pubis bombé. Sabine ne se rendit compte de l’indécence de sa position que quand je me permis, en décalant discrètement ma visée, d’immortaliser cette découverte intime et privilégiée : mon abruti de flash, jusque là inactif, se déclencha, illuminant violemment les cuisses béantes.
    
    — Faut pas te gêner, vieux cochon ! J’espère au moins que tu t’es régalé avec mon slip transparent parce que mon homme, lui, ça ne lui fait aucun effet ! Monsieur a décidé qu’il ne me toucherait plus tant que je n’aurais pas perdu au moins cinq kilos ! Et ça fait huit mois qu’il tient sa promesse, le macho. Je l’ai menacé de prendre un amant, il a éclaté de rire en disant que je n’intéresserais, à la rigueur, que quelques travailleurs clandestins privés de sexe depuis belle lurette… Le salaud !
    — C’est vraiment un goujat et un mufle, ton mari. Moi je trouve qu’il est de mauvaise foi, car tu n’es pas si grosse que ça et si je n’avais pas quinze ans de plus que toi, je me ferais un plaisir de te montrer que je te trouve parfaitement à mon goût…
    — Chiche ? Je te prends au mot, j’ai trouvé le bon Samaritain…
    
    Sabine sangla son fils, somnolent, dans sa poussette et m’entraîna dans ma cuisine qui jouxtait la véranda. En un tour de main, elle fit disparaître ...
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