Le bon Samaritain
Datte: 08/02/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
lunettes,
campagne,
noculotte,
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
uro,
Humour
fplusag,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
Comme chaque année, depuis la création d’une brocante dans mon village, Sabine et sa petite famille venait prendre l’apéro à la maison, après avoir chiné, dans des étals aussi insolites qu’hétéroclites.
— Pas la peine de dire que j’ai grossi, mon mari me le dit cinq fois par jour…
C’est ainsi que Sabine s’annonça chez moi, avant de me faire la bise et me fourguer la poussette du gamin qu’elle portait dans les bras. Elle avait laissé son mari et sa fille finir seuls la brocante, car elle avait mal aux pieds dans ses nouvelles bottines.
Franchement, je n’avais pas remarqué sa prise de poids. D’abord, elle n’avait jamais vraiment eu la taille mannequin. Ensuite, sa grande taille et ses tenues vestimentaires judicieusement amples ne la faisaient pas du tout passer pour dodue. Disons que c’était une femme bien charpentée. Ce jour-là, elle arborait une espèce de tunique Madras aux tons chauds et une longue jupe écrue. La blouse Madras, au décolleté ample, descendait assez bas, certainement pour cacher les rondeurs de sa croupe, que je savais généreuse. Je n’eus pas la goujaterie de l’examiner de plus près, bien qu’un embryon disgracieux de double menton attira mon attention.
Alors que je débouchais la traditionnelle bouteille de champagne, Sabine, qui connaissait nos difficultés conjugales, me demanda des nouvelles de mon épouse. Ma femme avait été son tuteur de formation. Sabine avait gardé des relations de reconnaissance mais aussi d’amitié avec elle et moi, bien ...
... qu’elle n’ait pas encore quarante ans et nous une quinzaine de plus. Je fis donc le point sur la situation : ma chère ex-moitié était hébergée chez son frère dans le Sud. Elle cherchait un petit appartement à Nice pour s’y installer définitivement. Sabine trouva notre séparation un peu triste, mais c’était la vie…
Même à son âge, elle trouvait qu’elle était courte la vie, et elle voulait la croquer intensément et tout de suite, sans attendre les maladies ou les accidents. Je restai songeur quelques secondes, non pas que ses propos m’aient interpellé mais parce que Sabine venait d’incliner le buste pour fouiller dans un sac où se trouvait le biberon du gamin. Le décolleté béant de sa tunique dévoilait sa somptueuse poitrine laiteuse, enveloppée dans un soutien-gorge noir à balconnets, qui en laissait déborder une bonne moitié. Ce n’était pas la première fois que j’avais droit au spectacle de ses seins pesants et moelleux, car Sabine ne semblait pas attacher trop d’importance aux normes conventionnées de la pudeur traditionnelle, ni dans ses attitudes, ni dans ses propos. Elle avait toujours été comme ça, nature, un peu provocatrice, parlant sans gêne de sa vie sexuelle, avouant qu’elle préférait de beaucoup les préliminaires amoureux et les caresses furtives à la pénétration d’un phallus dans son vagin.
Le gamin de trois ans exprima le désir de se faire photographier avec mon berger belge, avant de faire dodo. Pour avoir la paix, Sabine me demanda de prendre une photo, vite ...