1. Le bon Samaritain


    Datte: 08/02/2018, Catégories: fh, fagée, gros(ses), grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, campagne, noculotte, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, uro, Humour fplusag, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... une canne à lancer de luxe, pour l’ouverture de la pêche au brochet. La météo avait annoncé une semaine de canicule et elle ne s’était pas trompée. Les petits vieux devaient avoir les boules… Alors que j’étais allé à l’étang seulement pour essayer mon matériel, j’accrochai un beau brochet, certainement suicidaire. Mon épouse, spécialiste des quenelles, m’ayant appris qu’il ne fallait surtout pas congeler le bestiau, je décidai d’en faire cadeau à Brigitte, excellent cordon bleu, elle aussi.
    
    Il faisait une chaleur d’enfer en cette fin de matinée. Le pavillon de nos amis se trouvait très en retrait de la route. Dès l’ouverture du portillon, mon brochet dans un sac congélation, je fus surpris par une grande caisse en carton. Elle contenait les débris de la splendide collection de verres à bière de Xavier. Une maladresse de ma copine peut-être, elle était myope comme une taupe. Brigitte, d’origine polonaise, avait la cinquantaine, avec un gros cul mais une poitrine menue. Ses cheveux étaient lisses et blonds, ses yeux bleus étaient cachés par d’énormes lunettes aux verres épais. Elle ne se présentait jamais de profil, très complexée par son nez long et pointu. Elle arrêta de nettoyer les vitres des grandes baies coulissantes pour découvrir le carnassier. Cela tombait bien, elle avait invité son fils et sa belle fille pour le lendemain et elle ne savait pas quoi faire. Elle écarta un soutien-gorge et une petite culotte blanche qui traînaient sur la table de la cuisine pour ...
    ... que j’étale la bête. Après m’avoir confié qu’elle ne supportait pas les sous-vêtements synthétiques quand il faisait trop chaud, on se prit un jus de pamplemousse frais et elle me donna des journaux et un couteau professionnel à écailler.
    
    — Je suis désolée, mais tu vas devoir te taper le boulot, j’ai foutu Xavier dehors. Il m’a trompée avec une stagiaire, le salaud. Ne me pose pas de question maintenant s’il te plait, je suis trop perturbée et… humiliée.
    
    Pour ne pas répandre d’écailles dans la cuisine, je m’installai dehors, en dépliant les journaux sur le gazon. Assis en lotus, légèrement à l’ombre, mon travail était facile et rapide. Brigitte continuait le nettoyage des baies vitrées. Elle en mettait un coup : un seau de chaque côté, une éponge, la peau de chamois, la raclette. Elle ne portait qu’un long tee-shirt blanc barbouillé d’inscriptions en espagnol et des mules rose fluo. Me tournant le dos, chaque fois qu’elle se baissait pour tremper l’éponge dans le seau de droite ou pour essorer la peau de chamois dans celui de gauche, le spectacle me ravissait.
    
    Brigitte était courte sur pattes et la moitié inférieure de son arrière-train somptueux était dévoilée par le tissu. Le bas du tee-shirt remontait sur ses cuisses. Certes, les chairs étaient flaccides et lactescentes, mais le minou joufflu et la toison blonde qui émergeaient d’entre ses cuisses relevaient de la beauté artistique pure.
    
    Brigitte venait de ranger son matériel quand elle me demanda ce que j’avais ...