1. Le bon Samaritain


    Datte: 08/02/2018, Catégories: fh, fagée, gros(ses), grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, campagne, noculotte, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, uro, Humour fplusag, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... coton, parsemée de petites fleurs multicolores.
    
    Quand je la ramenai chez elle, vers vingt heures, Catherine, bien qu’un peu pompette, affichait la mine des mauvais jours.
    
    — C’est la journée la plus déprimante que j’ai vécue depuis l’enterrement de mon mari. J’ai la nette impression d’être passée à côté de la vie. C’est à cause de ça que j’ai un peu forcé sur le champagne.
    — Germaine et ses amies sont si tristes que ça ?
    — Pas du tout ! Elles ont rigolé tout le temps en se racontant leurs aventures amoureuses conjugales et extraconjugales. Moi, j’ai eu vraiment l’air d’une cloche quand j’ai dû leur avouer que je n’avais connu qu’un homme, mon mari. Ce n’était pas un foudre de guerre, ni dans son travail, ni au lit, mais il était d’une gentillesse immense. Il y a même une invitée qui m’a proposé de me présenter son voisin, un célibataire endurci, car elle avait lu que la probabilité de cancers spécifiquement féminins doublait quand il y avait disparition de relations sexuelles !
    — Germaine a aussi raconté qu’elle avait eu des aventures extraconjugales ?
    — Eh oui, elle a eu une espèce de double vie ! Quand elle a eu son deuxième enfant, à vingt-quatre ans, elle s’est vite rendu compte que son mari, non seulement se révélait minable et violent, mais qu’en plus son salaire d’ouvrier ne lui apporterait jamais le confort financier dont elle rêvait… Un peu orgueilleuse, la cousine, mais bon !
    — Alors ?
    — Eh bien alors, elle s’est fait embaucher chez un vieux notaire, ...
    ... comme femme de ménage. Celui-ci s’est très vite rendu compte que son employée était fort désirable, vu qu’elle ne portait pour travailler qu’un tablier très peu boutonné sur le devant. À force de lui faire reluquer ses seins qu’elle s’ingéniait à dévoiler dans l’échancrure du tablier et de faire sortir les yeux du notaire de leurs orbites quand elle s’arrangeait pour lui montrer qu’elle ne portait pas de culotte, ce qu’elle voulait qu’il arrive arriva : le notaire devint son amant, moyennant finances bien sûr. Les notables et les riches fermiers du bourg qui fréquentaient l’étude en profitèrent aussi, sans que le notaire s’en rende compte. Ma cousine adorée réussit à se faire un joli pécule en quelques années, juste assez pour que la banque lui consente un crédit pour l’achat d’une petite maison, bien à elle. Elle a aussi raconté qu’elle était parfois invitée à de petites orgies lucratives de la Jet Set du bourg campagnard. L’argent convoité exigeait parfois des sacrifices sur sa dignité, tout n’avait pas été rose. Germaine ne regrettait cependant pas d’avoir dû avaler le sperme gluant de quelques dégoûtants, ni d’avoir souffert de brûlantes douleurs anales. Les riches pervers réalisaient ce qu’ils n’auraient jamais osé demander à la mère de leurs enfants. Elle n’était pas là pour refaire le monde, mais pour profiter d’un créneau lucratif. Elle s’est arrêtée de travailler à la mort du notaire. Très généreux, il lui avait laissé une petite part de son héritage.
    
    La pluie ...
«12...567...10»