1. Le bon Samaritain


    Datte: 08/02/2018, Catégories: fh, fagée, gros(ses), grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, campagne, noculotte, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, uro, Humour fplusag, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... spermatozoïdes en toute quiétude, les mains remplies des gros nichons de la mère de famille, maintenant infidèle. Elle voulut goûter, pour la première fois de sa vie, au sperme qui enrobait encore mon phallus, mais elle trouva ça vraiment dégueu…
    
    Dans la salle de bains, pendant notre toilette intime, j’allais l’entretenir de nos relations futures mais je fus battu sur le fil par Sabine, hilare :
    
    — Je pense à la tête de mon mari quand je vais lui raconter, dans le moindre détail, que l’énorme mère de ses enfants s’est quand même trouvé un amant, et qu’elle a pris énormément de plaisir à écarter les cuisses pour le faire cocu ! Rassure-toi, je ne révélerai pas son identité.
    
    Je n’eus aucun coup de téléphone de Sabine, qui m’avait pourtant promis de me tenir informé. Le samedi midi suivant, j’allai, à la demande de Germaine, chercher sa cousine dans un village voisin. Germaine habitait à vingt mètres de chez moi et devait fêter, avec ses amies et sa cousine, ses quatre-vingts printemps. Je ne pouvais rien refuser à Germaine, c’était devenue une amie, et ma couturière attitrée et gratuite depuis trente ans.
    
    Sa cousine avait perdu son mari quatre ans auparavant. Jeune retraitée, ses cheveux abondants, colorés d’un gris argent, la vieillissaient. C’était le genre de bonne femme qu’on ne remarque pas, anonyme dans la foule. Je l’aidai à confectionner un emballage cadeau autour d’un grand miroir rectangulaire au cadre de bois. Dans sa jupe droite, pied de poule, noir et ...
    ... blanc, elle virevoltait autour d’une petite table pour faire des pliages savants avant que je scotche. Le galbe de ses jambes frêles était mis en relief par des bas (ou un collant) brodés de motifs géométriques, en relief. Son chemisier blanc laissait deviner les broderies du soutien-gorge. Certainement peu serré, celui-ci laissait de la liberté à une poitrine modeste, qui s’animait à chacun de ses mouvements.
    
    Ma Peugeot de société n’avait que deux portes, alors Catherine, la cousine, résolut de sangler l’encombrant cadeau fragile sur le siège passager. Je basculai le siège conducteur pour permettre à Catherine de s’installer à l’arrière. L’accès n’étant pas évident, elle jeta sa veste pied de poule et son sac à main sur la banquette, avant de se plier en deux et de dandiner ses petites fesses. Elle poussa un Ouf de soulagement quand elle arriva à se retourner pour s’asseoir enfin.
    
    Devant la maison de Germaine, l’extraction de la Peugeot s’avéra plus délicate. Catherine, un peu coincée dans sa jupe droite, une main accrochée au montant de la portière, n’arrivait pas à se soulever du siège. Elle implora finalement mon aide pour employer les grands moyens. Remontant sa jupe sur le haut de ses cuisses, agrippant le montant d’une main et s’accrochant à mon bras de l’autre, elle m’invita à la tirer de cette situation humiliante. Mon sauvetage me permit de faire deux découvertes : d’abord que Catherine portait des bas et ensuite que sa petite culotte était jaune canari, en ...
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