Tante Gertrude
Datte: 20/10/2018,
Catégories:
ff,
fbi,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
nopéné,
init,
Auteur: Jane Does, Source: Revebebe
... depuis longtemps une longueur d’avance. Elle se prit au jeu et me demanda si elle pouvait risquer le coup… avec mon père.
Finalement, pourquoi pas ? Il était bien tenté par la jeunesse de Mathilde, la jeune bonniche, alors pourquoi la tendreté de cette amie qui passait un peu de temps avec sa progéniture, pourquoi ne le tenterait-elle pas un peu. Je me demandais s’il savait seulement que je n’étais pas rentrée seule, tant mon cas l’intéressait peu. Je donnai donc mon blanc-seing à ma compagne de chambrée. Mais elle me déclara que ce serait pour une prochaine fois, qu’il nous restait encore ensemble des choses à prospecter. Du reste le soir suivant, après que nous nous soyons une fois de plus caressées et plus que reléchées, c’est en panty que nous allions arpenter les corridors de la partie « nuit » des adultes.
— xxxXXxxx —
Le corps de bâtiments de ce toit qui nous abritait était bâti en forme de U majuscule. Le front de la maison couvrait la cuisine, les salles de réception, les boudoirs et naturellement le sacro-saint des saints, le bureau de mon géniteur. Bien entendu, je vous ferai grâce des annexes, tels la lingerie ou le bûcher. L’escalier monumental de granit rose menait dans les deux ailes de la bicoque. Celle de gauche était dévolue au personnel et aux enfants, dont je faisais évidemment toujours partie. La droite quant à elle, recevait les couples d’adultes, fort nombreux qui couchaient chez nous. Encore que, quand je parle de « chez-nous »…
Et ...
... l’escalier qui partait en deux pièces depuis l’entrée débouchait dans une galerie reliant les ailes des parties nuit. C’était par là que nous étions parties Adèle et moi lors d’une virée nocturne. Bien peu vêtues aussi, mais l’adrénaline provoquée par la transgression de ces tabous faisait cogner nos cœurs dans leur cage. Et à chaque chambre nous guettions, follettes écervelées, aux portes ! Sûrement pour nous enquérir de leur occupation effective. Celle de mes parents se tenait à l’extrémité de ce long couloir. Et lorsqu’à l’approche de ce huis clos, je vis le nez de ma compagne de bordée s’approcher du trou de la serrure, je n’osais pas la retenir.
La miss était penchée sur l’œilleton de fortune qui donnait une vue sur juste un peu de l’intérieur, et je la vis me faire signe, à l’aide de son index en crochet, d’approcher. Elle s’écarta pour que mon œil perçoive ce qui visiblement la rendait joyeuse. Armand cramponnait maman par les hanches et debout près du lit, il avait de bien singuliers mouvements. Adèle souriait et me chuchotait des mots que j’eus bien du mal de comprendre.
— Tu as vu cela ? Ils font l’amour !
— … ?
— Oui, la hallebarde de ton père devrait donner du plaisir à Clothilde.
— … ? Je ne vois pas grand-chose !
— Ce petit sac qui pend entre les cuisses de… c’est les testicules de ton père. Il me faudra y goûter un jour, je me le suis promis.
— … !
— Ben, tu vois qu’il se passe des moments bien agréables entre ces deux-là ! C’est cela qu’on appelle le ...