Véro et Didi
Datte: 14/10/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
campagne,
pénétratio,
inithf,
Auteur: Pascal Laurent, Source: Revebebe
... conceptions masculines et féminines du rapport sexuel différent énormément. Vous, les garçons, croyez qu’il suffit de mettre votre sexe en nous pour que nous jouissions de suite et que, plus c’est gros, plus on grimpe aux rideaux. Mais ça ne marche pas comme ça. En fait, le pénis dans le vagin, c’est le final, la cerise sur le gâteau et avant, il y a les préliminaires sans lesquels une femme va difficilement accéder au plaisir. Et cette mise en condition psychologique varie énormément selon les femmes. Les grands classiques en sont : la faire rire, la courtiser, la tendresse, la douceur, les caresses, les baisers… Il faut patience, écoute et savoir-faire au garçon. Alors là seulement, le sexe entre en jeu et la taille du pénis est alors secondaire. En fait, un rapport amoureux est un crescendo plus ou moins lent où il faut mettre en condition une femme pour qu’elle ait envie de se donner. C’est un peu comme cette promenade qui nous a menés du parking à cette colline, promenade où tu t’es montré doux, prévenant, sensible. Tu as été soucieux de moi, de mon bien-être. Quelle femme ne serait pas touchée par tant de prévenance ? D’ailleurs, regarde : nous sommes presque nus, à nous tenir les mains et…
Je me tais et me penche vers lui. J’écarte le devant de son slip et prends dans ma main son pénis que je caresse doucement pour ne pas l’effaroucher. Le temps semble s’être arrêté. Ferdinand ne bouge pas, en attente de ce qui va se passer. Alors, de mes deux mains, ...
... j’entreprends de lui descendre son ultime vêtement. Il se soulève légèrement pour m’aider, signe de sa participation à ma folle entreprise. Je me dis que je suis une bien perverse thérapeute pour donner ainsi sexuellement de sa personne pour aider un patient ! Fort heureusement, il est majeur ! Je ne risque pas de me retrouver en prison !
Mais tout ce que j’ai dit est vrai : même si Ferdinand est à l’opposé des hommes qui me séduisent habituellement, je suis malgré tout tombée sous son charme et l’envie de lui venir en aide se double maintenant d’un désir que je n’aurais pas envisagé il y a quelques heures.
Une fois son slip retiré, je m’allonge près de lui et caresse doucement sa poitrine et le ventre tout en lui donnant de petits baisers sur la joue et près des lèvres. Doucement, aller doucement. Ne pas le brusquer, lui montrer que le désir vient crescendo. Je suis comme un professeur de Travaux Pratiques qui explique patiemment à un élève en difficulté. Je me colle davantage à lui et un sein lourd se frotte à lui. Je devine l’agréable sensation qu’il doit éveiller chez lui. Je l’ai déjà dit, je suis assez fière, entre autres, de mes seins et je le sens de plus en plus réactif : ses bras viennent d’ailleurs m’entourer. Je décide de dégrafer mon soutien-gorge et ses yeux étonnés et émerveillés suivent mes gestes puis le mouvement de mes seins libérés.
Il est tellement admiratif que j’en suis émue et aussi terriblement excitée. Sa main se pose sur ma poitrine qu’elle caresse ...