1. Frisia ou La débauche romaine


    Datte: 13/10/2018, Catégories: fh, ffh, grp, jeunes, soubrette, Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe init, historique, historiqu, Auteur: Apv, Source: Revebebe

    ... sans le dire. Je pense également aujourd’hui que sa mère dut lui en toucher mot.
    
    Je sentis un liquide qui m’avertit que la vierge était disposée à m’accueillir. La jeune fille m’observa approcher de son sexe avec un peu d’appréhension. Sa toison noire sentait fort. Ma langue pourfendit ses lèvres et son suc s’écoula plus vivement. Sa corolle s’entrouvrait. Ma bouche s’activa et se concentra sur son bouton. Frisia se pâma lorsque mes doigts la fouillèrent doucement. Elle était prête. Ses yeux se fermèrent.
    
    J’appelai Manio, une esclave gauloise qui restait toujours à mon chevet. Elle apporta une fiole contenant une huile avec laquelle elle enduisit mon phallus. Manio souriait toujours. Aveugle de naissance, son visage n’exprimait jamais la tristesse et sa douceur me rassurait. Depuis longtemps à mon service, elle savait assouvir tous mes désirs. Voir l’esclave m’enduire ainsi dut exciter la jeune fille, qui s’empala sur mon sexe glissant. Ses cheveux balayèrent l’air. La vigueur de sa jeunesse et la hardiesse de son désir m’enthousiasmèrent. Après quelques mouvements amples, elle jouit bruyamment à mes oreilles. Elle s’effondra à mes côtés. Sa gorge était pourpre et sa respiration haletante. Je la caressai un moment. Ses fesses étaient douces et bien rondes.
    
    Je l’observai. Elle avait la jeunesse et la fraîcheur. Ses courbes parfaites me rappelaient celles de Manio, la première fois que je l’avais prise. Quand je regarde sa sœur Niocléa, je retrouve cette jeunesse qui ...
    ... s’exhalait de son corps.
    
    Frisia sortit de son apathie. Ses yeux fixèrent ma verge palpitante. Une angoisse passa dans son regard. Je me rappelle les grands yeux noirs mouillés qui me fixaient.
    
    — Manio, viens lui montrer, dis-je enfin, en vidant un verre de vin.
    
    L’esclave aveugle s’approcha à tâtons, localisa mon sexe et le prit entre ses mains. Le regard dans le vide, la femme me masturbait comme aucune autre femme ne savait le faire. Puis sa bouche enroba mon gland et sa langue lécha le méat. La Gauloise le recracha puis rouvrit sa bouche et le membre pénétra à l’intérieur. Manifestement, la saveur lui plaisait. Elle commença une lente succion, ample, appliquée, accélérant doucement par palier, reprenant le rythme, revenant, augmentant la pression.
    
    — C’est bon, Manio, laisse ma servante le faire, maintenant, mais reste là.
    
    Frisia s’avança peureusement et commença une fellation un peu maladroite mais consciencieuse. Je la laissai faire car elle m’avait offert sa virginité. Je tendis la main vers l’esclave et lui pelotai les seins, qu’elle avait énormes. La jeune vierge n’arrivait guère à m’exciter.
    
    — Manio, fais-toi jouir !
    
    L’esclave gauloise commença à se caresser. Depuis toutes ces années, la vue d’une femme qui jouit ou qui feint de jouir avait toujours eu sur mon excitation un effet des plus patents. Manio savait y faire, et sa respiration saccadée commença à me chauffer. Ses doigts sur sa vulve, ses seins se balançant sur sa peau blanche, eurent le ...
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