1. L'harmonique des corps


    Datte: 12/10/2018, Catégories: fh, fhh, jeunes, amour, jalousie, miroir, fsodo, journal, nostalgie, Auteur: Lok.Z, Source: Revebebe

    ... rien de bien fameux. À cette époque, pouvoir se payer un vrai groupe de musiciens, c’est s’assurer un bal où il y aura du monde. Sophie danse. Elle est en robe relativement moulante sous sa courte veste. Un coup d’œil averti suffit pour comprendre qu’elle ne porte pas de culotte ce soir. Elle danse seule sans me perdre des yeux. Elle danse pour moi. Elle me chauffe à distance et ça ne passe pas inaperçu. Autour d’elle, les mecs et les filles l’observent à la dérobée. Faut dire qu’elle est vraiment bandante et qu’elle le sait et c’est ça qui a changé chez elle, cette prise de conscience de son pouvoir de séduction et le plaisir qu’elle retire de s’en servir. Je n’écoute plus le grand Ludo que d’une oreille. Puis c’est une série de slows qui commence. Je m’excuse auprès de lui et la rejoins sur la piste. Collé-serré, le slow. Je suis à deux doigts de lui prendre les fesses à pleines mains. Elle est contente, elle me fait bander. Pendant que l’on danse, elle me demandera si le grand Ludo serait partant pour un plan à trois. Je lui réponds que non. Que ce n’est pas son genre. Mais en vérité, c’est moi qui ne suis pas partant.
    
    Quand nous rentrons, tout le monde est couché. Le problème, c’est que nous comptions dormir dans le canapé du salon qui est malheureusement occupé par mon cousin. Il ne reste que mon lit dans ma chambre où dort aussi mon frère, et il n’est pas question de partager le même espace avec lui. C’est alors que ma mère, qui a toujours eu un sommeil de ...
    ... sentinelle tant que ses enfants n’étaient pas rentrés de leur virée, intriguée par nos chuchotements, vient à notre secours. Je n’ai même pas le temps de lui expliquer que Sophie s’en charge à ma place. Le cousin, qui ne semble pas connaître l’usage des bouteilles d’eau, n’a pas voulu dormir dans ma chambre pour pouvoir se relever la nuit au cas où il aurait soif. Et comme l’escalier et plutôt raide et grinçant… Ma mère réveille alors mon père et tous deux nous cèdent leur lit en échange du mien.
    
    Une fois seuls, nous nous déshabillons et au moment où Sophie grimpe nue dans le lit, je me précipite sur elle en traître et la saisis par les hanches. Avant qu’elle ait pu dire ouf, je lui colle ma queue sur l’anus, et comme elle ne se dérobe pas, je l’encule avec délice. Nous sommes en travers du lit et en face de nous se trouve l’armoire avec son grand miroir sur sa porte centrale. Sophie a la tête dans les draps et le cul relevé. Je ne sais plus où donner des yeux. Ma queue qui s’enfonce dans son cul ou cette vue d’ensemble où je me vois la pistonner le corps tendu, le regard étrange ? Je passe une main sous son ventre, trouve sa chatte évidemment trempée et y enfonce plusieurs doigts. Je la prends sans rien lui demander. Elle ne s’attendait pas à ce que je la sodomise d’entrée de jeu mais ça ne lui déplaît pas, bien au contraire. Elle redresse la tête et se regarde dans le miroir, les yeux dans ses propres yeux. Elle récolte ce qu’elle a semé tout au long de la soirée et je lâche tout ...
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