1. Corps-à-corps dans le Vercors


    Datte: 11/10/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, jalousie, Oral pénétratio, Humour policier, aventure, Auteur: Ludwig Mrza, Source: Revebebe

    ... agile. Je m’y attardai quelques instants, puis me détachai d’elle en la débarrassant de son marcel. Elle me laissa embrasser ses seins fermes et bronzés, en tenant ma tête de ses deux mains.
    
    — Ne tétez pas trop fort. C’est délicat, ces choses-là.
    — Mmmm llmmm pffrchra…
    — Oui, sucez-moi les bouts, Ludwig.
    
    Je lui caressai les cuisses par-dessous la jupe. Elle délaissa immédiatement ma tête pour ouvrir la tirette et la boutonnette, et la jupette chut. Contrairement à ce que j’avais escompté, son slip n’était pas un modèle échancré. C’était une bonne vieille culotte de coton blanc souple et duveteux, déjà humide dans l’entrejambe.
    
    Je soulevai Juana dans mes bras et l’allongeai sur le sofa pour lui ôter son ultime pièce vestimentaire. Elle gloussa de plaisir en me laissant jouer de la langue au milieu de sa sombre toison. J’en profitai aussi pour la doigter pendant que ma main libre partait peloter ses petits seins. Elle se mit à tressauter sur le divan et je dus appuyer plus vigoureusement de la paume sur sa poitrine, puis carrément lui pincer les tétons pour qu’elle remue un peu moins. Elle battit quand même des jambes en jouissant, mais je remarquai qu’elle étouffait ses cris sur le dos de sa main, peut-être par crainte de déranger les voisins ou, plus prosaïquement, de les attirer dans la mêlée.
    
    Lorsqu’elle se rua vers ma braguette, je ne la retins pas, mais son sourire étiré sur des dents gourmandes me donna néanmoins quelques craintes pour l’intégrité de mon ...
    ... gland.
    
    — Moi aussi, j’aime bien embrasser, assura-t-elle.
    
    Tant qu’il n’était question que d’embrasser, ça ne me dérangeait pas. Mieux : ça me plaisait. Et elle ne mentait pas, la coquine ! Je remarquai également qu’elle adorait lécher et sucer, mais elle se garda toutefois d’avaler lorsque je balançai la purée : il ne fallait quand même pas trop en demander !
    
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    La soirée commençait à peine lorsque j’arrivai devant le « Skull » avec, quelque part sur le bout de la langue, un petit arrière-goût de femelle en rut. Je n’avais pu obtenir aucun renseignement utile de Juana, mais au moins en avais-je tiré quelque satisfaction compensatoire. Elle ne m’avait rien demandé, même pas de me revoir et c’était bien ainsi. Cette nuit sans doute elle s’en irait arpenter le trottoir, occupation plus lucrative que de tailler gracieusement une pipe à un visiteur sympathique aux mains baladeuses et à la bouche habile.
    
    Une enseigne lumineuse figurant un squelette clignotait sur la façade crasseuse du bar, au-dessus de la porte ouverte sur un bruit agressif ressemblant vaguement à de la musique. Avec le blue-jean le plus délavé de ma collection, un vieux tee-shirt orné d’une tête de mort et mon blouson de cuir râpé, je devais encore être plus chic que la moyenne de la clientèle du bistrot, car je n’y passai pas inaperçu. Malgré les regards peu amènes qui me furent adressés en chemin et l’odeur de pisse s’échappant des toilettes voisines, je m’approchai du comptoir et commandai une ...
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