1. Madeleine, prof dévouée, femme fidèle, à un tournant


    Datte: 11/10/2018, Catégories: fh, couple, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral jeu, confession, cocucont, h+prof, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... j’avançais mon bassin pour en avoir un petit bout, juste un petit bout. Puis j’ai laissé entrer le gland, tout doucement, et j’ai dit non quand il a poussé pour me pénétrer lentement. J’ai dit non tout en appuyant sur ses fesses pour qu’il pénètre plus profondément. Tant qu’il n’était pas au fond, j’ai dit non plusieurs fois, faisant tout pour qu’il ne puisse plus reculer.
    
    Quand j’ai senti ses bourses sur mes fesses, j’ai réalisé qu’il était en train de me faire l’amour. Il me bouffait les seins, revenait m’embrasser, et me pistonnait avec application. J’avais mal au dos, j’étais folle !
    
    Je me suis dégagée. Il a compris que c’était terminé, et n’a pas résisté.
    
    Je me suis levée pour revenir à genoux devant le fauteuil et prendre son sexe dans ma bouche. Je ne pouvais pas décemment partir en le laissant dans cet état.
    
    À plusieurs reprises il s’est trouvé au bord de l’extase. Ses couilles remontaient, tendues. J’arrêtais alors de le sucer pour reprendre de plus belle ensuite. Et j’ai bien dû me rendre à l’évidence : je n’avais pas vraiment envie de le faire jouir comme ça. Il l’a compris quand je me suis mise à genoux dans l’autre sens, l’invitant à me prendre par derrière. Plus confortable pour moi, cette position allait aussi lui permettre de prendre cette croupe qu’il avait si bien reproduite dans sa peinture ; il allait pouvoir investir cette grotte trempée et distendue qui lui tendait ses lèvres.
    
    Il m’a prise avec force, me tirant par les cheveux, me claquant ...
    ... les fesses quand il me bourrait. Je n’ai plus pensé à stopper. C’était trop tard. Il fallait que je boive le calice jusqu’à la lie ; quand il m’a demandé s’il devait se retirer pour jouir, j’ai poussé mon cul contre lui pour qu’il comprenne que je voulais le sentir jusqu’au bout, que je voulais sentir son sperme en moi ; il s’est est donné à cœur joie et m’a fait jouir comme une dingue.
    
    Pas de culpabilité. Aucune.
    
    Je suis restée encore un peu avec lui, comme on reste avec un ami. Sur la route du retour, j’ai appelé mon mari pour lui dire que je rentrais. À peine arrivée, il a voulu savoir.
    
    — C’était bien ?
    — Parfait.
    — Il a fait une nouvelle toile ?
    — Oui. Il n’a pas terminé. Tu la verras dans quelques jours.
    — Il a essayé d’en profiter ?
    — Oui. Il a essayé.
    — Tu as eu envie de lui ?
    — Oui. Terriblement.
    — Il t’a baisée ?
    — Tu veux vraiment savoir ?
    — Oui. Je veux savoir.
    — J’ai résisté. Pas longtemps. Je l’ai laissé me toucher. J’ai même réclamé qu’il me touche.
    — Et c’est allé plus loin ?
    — Oui. On ne pouvait pas aller plus loin.
    — Ça t’a plu ?
    — Énormément.
    — Tu as joui ?
    — Oui. Plusieurs fois.
    — Mieux qu’avec moi ?
    — Non, pas mieux. Mais très bien.
    — Pareil, alors !
    — On peut dire ça, oui. Pareil.
    — Et lui il a joui ?
    — Oh, que oui !
    — Dans un préservatif ?
    — Non.
    — Dans ta main ? Dans ta bouche ?
    — Non. Dans ma chatte. Tout au fond.
    — Oh la vache !
    — Comme tu dis. Ça te fait du mal ?
    — Oui. C’est douloureux. Mais ça m’excite aussi. ...