Madeleine, prof dévouée, femme fidèle, à un tournant
Datte: 11/10/2018,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
jeu,
confession,
cocucont,
h+prof,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... peinture, de son goût retrouvé pour l’art abstrait. Il s’est dit heureux pour moi de mon état, très visible déjà. Nous sommes allés boire un café, l’occasion pour moi de lui dire à quel point j’étais heureuse, et de m’excuser à nouveau de l’avoir planté.
Quand j’ai raconté cette entrevue à mon mari, il a insisté pour que je demande à Peyo de poser à nouveau pour lui, enceinte pour de bon cette fois. Je n’ai pas très bien compris pourquoi il insistait tant. Il a continué de m’en parler alors que nous faisions l’amour, le soir même.
— Cambre-toi encore un peu.
— Je suis au maximum.
— Ton cul, j’en peux plus tellement il est beau.
— Hummmm…
— Tu vas le montrer à ton peintre, hein ?
— Arrête avec ça ! Continue, je vais jouir.
— Que je continue de te parler de lui, c’est ça ?
— Non ! De me baiser !
— Il a tellement fantasmé sur ton ventre que quand il va le voir, tu vas y passer.
— Arrête.
— Non, j’arrête pas. Il va te baiser et tu vas aimer ça. Dis-le !
— Ouiiiii, encore… Je vais aimer ça… Je jouiiiiis…
J’y suis allée, dès le lendemain. Quand je l’ai appelé, Peyo a semblé surpris, puis ravi.
Plus de chichis entre nous ; j’ai quitté mes vêtements devant lui à peine arrivée pour prendre place sur le fauteuil. Dans la même position que pour mes premières toiles, il voyait ce qu’il avait imaginé. En moins beau sans doute. Mon sexe était en effet totalement distendu. Et épilé. Mes seins, énormes, avaient doublé de volume. Je me sentais un peu bovine, mais ses ...
... yeux voyaient la perfection.
Je suis restée ainsi près d’une heure. Le voir peindre relevait de l’immense, du sublime. Ses yeux virevoltaient entre sa toile et mon corps, ses yeux me transportant à chaque fois. Comme bercée, je me suis endormie.
À mon réveil, Peyo était assis face à moi, sur une chaise. Les coudes sur les genoux et la tête dans les mains, il m’observait, comme envoûté.
— Tu as bien dormi ?
— Désolée, je suis partie toute seule. J’ai dormi longtemps ?
— Une heure et demie.
— Tu as terminé ?
— Ma toile, oui. De t’admirer, non.
— Tu es gentil.
— Je suis gentil, mais j’ai terminé ma toile. Je ne suis pas peintre en ce moment. Je suis un homme qui te regarde nue.
— Ce que tu vois te plaît ?
— Énormément. Je n’ai pas réussi à tout mettre dans cette toile.
— Il manque quoi ?
— Une émotion que je n’arrive pas à traduire.
— C’est-à-dire ?
— J’ai un peu l’impression que l’enfant que tu portes est le mien. Ton couple était stérile et désabusé. Tu es venue, tu as posé. Et tu es enceinte. La dernière fois que tu es venue, il s’en est fallu de peu… J’aurais pu être le père de ton enfant.
— C’est vrai : un instant, j’ai failli me donner à toi. L’ambiance y était pour beaucoup. Et avoir posé nue m’avait excitée ; mais c’est la raison qui l’a emporté.
— C’est sans doute mieux comme ça.
— En effet.
— Je peux toucher ton ventre ?
— Je t’en prie.
Il s’est approché tout doucement, hésitant, fébrile. Sa main s’est posée à plat sur mon ventre rond, avant ...