Madeleine, prof dévouée, femme fidèle, à un tournant
Datte: 11/10/2018,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
jeu,
confession,
cocucont,
h+prof,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... de me caresser tendrement. Il me transmettait une chaleur intense. J’ai fermé les yeux. Je me suis détendue. J’aurais pu dire stop quand sa main est remontée vers mes seins, mais j’avais envie qu’il les touche. Le ventre et les seins sont les stigmates indépassables de la grossesse, et c’était ma grossesse qui le captivait. J’aurais pu encore dire stop quand sa bouche s’est posée sur un téton pour le lécher, puis le mordiller. Sa langue et ses dents à l’œuvre m’ont fait perdre la tête au point que quand sa main est descendue entre mes cuisses, je les ai écartées plutôt que de l’en empêcher. J’étais trempée.
Son souffle sur mon visage quand il s’apprêtait à m’embrasser sentait le café. Sa langue a cherché la mienne ; je n’ai pas refusé le combat. Ma vulve bouillante a accueilli ses doigts avec bonheur. Je me disais que j’avais encore le temps d’arrêter cette folie, mais j’en voulais encore un peu. L’odeur de mon sexe m’arrivait, enivrante, jusqu’aux narines. J’ai ouvert les yeux et tendu mes bras pour le serrer contre moi. Il a remonté ses main sur mes épaules, comprenant sans doute que je ne voulais pas aller plus loin, que j’appréciais ses caresses mais que je voulais en rester là. Nous sommes restés enlacés quelques minutes avant que je ne me décide à faire une dernière folie avant de partir.
Il me fallait sentir sa peau sur la mienne. Je l’ai repoussé un peu pour déboutonner sa chemise et l’ouvrir, avant de le serrer à nouveau contre moi. La taille de mon ventre ...
... rendait la position peu confortable, mais le contact de sa peau fut un réel délice. Elle était chaude, douce, et son odeur divine. Mes seins écrasés contre son torse, mes cuisses ouvertes pour qu’il soit bien contre moi, je ne voulais pas perdre pied, garder le contrôle, aller un peu plus loin, mais pas trop.
Cette fois, c’est moi qui lui ai offert mes lèvres. Sa salive était abondante, sa langue chaude. Son torse puissant me compressait les seins. Un délice. J’ai passé mes mains sous sa chemise pour lui caresser le dos. Une chair de poule l’a couvert, pour ensuite disparaître. Elle avait retrouvé sa douceur. Il était temps que je mette un terme à tout ça ; nous étions allés trop loin. Mais à force de l’attirer contre moi, son sexe était venu se plaquer entre mes cuisses. Je ne pouvais pas partir sans l’avoir touché.
J’ai passé une main entre nos corps pour l’introduire dans son pantalon. Son gland emprisonné dans son caleçon pointait fièrement au niveau de sa ceinture. J’ai fait comme j’ai pu pour descendre un peu son jean pour libérer sa virilité. Et quelle virilité ! Un sexe imposant, extrêmement raide, long, doux. Je n’ai pas pu m’empêcher de le frotter contre mes lèvres trempées, excitant au passage mon clitoris à vif.
J’ai presque souhaité qu’il éjacule dans ma main quand je le masturbais, tant je doutais de ma capacité à ne pas aller plus loin. Et pourtant, je vous jure, j’ai essayé de ne pas permettre à son énorme gland de s’introduire dans ma vulve, même si ...