Babeth, la plage et la duchesse
Datte: 03/10/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
grosseins,
vacances,
plage,
caférestau,
volupté,
Oral
pénétratio,
Humour
Auteur: Alexandre92, Source: Revebebe
... culotte. Mon sexe battait la mesure de mon excitation et je m’approchai d’elle. Elle s’appuya sur ses coudes pour relever la tête et me murmura :
— Attends.
Elle se remit debout, fit le tour de la voiture et appuya ses mains sur la calandre, comme pour jouer à la mécanicienne. À ceci près que le capot était fermé, et que si les mécanos lui ressemblaient, je serais au garage tous les jours. Elle tendit les bras et rejeta son cul en arrière. Elle était pliée en deux, comme si elle voulait pousser la voiture vers la route.
"Le frein à main est serré ?" me traversa l’esprit, puis j’arrêtai de penser et me mis derrière elle. Elle était bien cambrée, ses fesses entrouvertes me laissaient libre accès à sa fente luisante de plaisir et à son petit trou. Je tins ma queue d’une main et la fis aller et venir doucement le long de sa fente, sans la pénétrer.
Babeth aspira de l’air entre ses dents, comme si je lui faisais mal. Je m’arrêtai et je l’entendis à nouveau me parler. Une seule syllabe.
— Viens.
Elle recula vers moi et ma queue glissa en elle sans que j’aie fait le moindre geste. Oh que c’était chaud, que c’était doux, que c’était bon ! Son fourreau m’enserrait divinement et elle ne bougeait plus, savourant comme moi le moment qui passait. J’attrapai ses hanches et commençai à aller et venir en elle. Doucement, puis de plus en plus vite. Mes mains se crispaient sur ses hanches, j’entendais le claquement de ses fesses qui venaient à la rencontre de mon bassin. ...
... Elle commença à gémir d’une longue plainte monocorde, modulée par mes va-et-vient dans son sexe. Mes coups de reins la faisaient bouger et je voyais la voiture qui tressautait elle aussi sous nos ébats. Les seins de Babeth oscillaient comme une excitante balançoire sous mes coups de boutoir. Et je ne disais rien, je me concentrais sur ce que je lui faisais. Je sentais la flamme de la jouissance qui montait dans mes reins. Et les étoiles filantes qui traversaient le ciel semblaient accompagner notre accouplement en brûlant d’une flamme de plus en plus forte.
— Je vais jouir, cria-t-elle. Je vais…
… Et elle se raidit, et un cri silencieux sembla percer ses lèvres alors que je sentais les contractions de son sexe autour du mien et comme une douche chaude autour de mon gland. Un râle grondant sortit de ma bouche et je me plantai une dernière fois en elle avant de m’immobiliser et de laisser mon sexe cracher par saccades des galaxies de spermatozoïdes.
Nous avons refait l’amour dans la voiture, comme des collégiens sans toit pour accueillir leurs ébats. Et encore, une fois rentrés chez moi. Et encore, le lendemain. Et la semaine suivante aussi.
Vers la fin du mois, nous sommes partis en voyage ensemble, passer un long week-end dans l’Angleterre qu’elle connaissait peu en tant que touriste. Mon vieux break ne nous a pas trahis et nous a vaillamment menés jusqu’au château où Babeth avait travaillé et qu’elle tenait à me montrer. Son ancienne patronne était dehors, en tenue ...