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Babeth, la plage et la duchesse
Datte: 03/10/2018, Catégories: fh, inconnu, grosseins, vacances, plage, caférestau, volupté, Oral pénétratio, Humour Auteur: Alexandre92, Source: Revebebe
... sable se faufilaient partout et rendaient les explorations difficiles. Je me relevai alors et la ramenai sans un mot près de la voiture, alors que nous nous époussetions mutuellement. Elle s’adossa à l’aile de la voiture et je me pressai contre elle. Nous avons alors recommencé une longue séance d’exploration réciproque de nos labiales. Nos caresses à travers les vêtements devenaient frustrantes et je la sentis se tortiller un peu. Un bruit distinct de fermeture éclair précéda de quelques instants le mouvement de sa robe vers le bas. Je me détachai d’elle et l’admirai alors, presque nue. Elle bougeait doucement pour laisser la faible clarté souligner son corps et j’admirai ses seins gros et un peu tombants, avec une toute petite aréole et des tétons dressés vers moi. Son ventre un peu renflé et émouvant. Ses jambes fines et superbes. Ses hanches un peu larges mais sa taille très fine. Elle fit glisser sa culotte le long de ses jambes et me démontra alors qu’elle était vraiment blonde. Sa toison formait une touffe claire et fournie qui m’attira plus sûrement encore qu’un aimant et je m’agenouillai devant elle. J’embrassai son ventre et trouvai une peau d’une douceur infinie. Un fin duvet blond courait le long de son nombril vers son buisson qui me rendait ardent. Je le suivis pour descendre vers la fourche de ses jambes, en rythmant ma progression par de petits baisers légers. Goûter à sa peau sucrée était un plaisir de fin gourmet. Et son odeur de femme m’excitait ...
... maintenant au plus haut point. Elle fléchit doucement les jambes pour laisser ma bouche accéder à son saint des saints. J’embrassai sa toison et atteignis le haut de son sexe. Ma lèvre s’activa doucement sur le renflement de peau qui abritait son clitoris. Elle soupira fortement et je sentis ses mains se crisper dans mes cheveux, dérangeant un peu du sable que je n’avais pas enlevé. Ma langue pointa et descendit le long de sa fente très lentement, pour ouvrir le chemin. Elle était déjà humide. Je goûtai à sa liqueur, que je trouvai un peu insipide, mais qui arrivait maintenant en quantité abondante. Ses halètements se faisaient plus forts, ses soupirs aussi. Elle se faisait plus lourde sur ma tête, s’abandonnant, alors que ma langue allait et venait en elle comme un petit sexe. Elle ne parlait pas, juste ses halètements de plus en plus forts. Elle grinça des syllabes sans queue ni tête et je sentis que la houle qui montait de ses reins était plus forte que le ressac sur la plage. Je bandais à m’en faire mal et plus rien d’autre n’existait que le ciel au-dessus de ma tête, la cascade de cheveux blonds qui le masquait partiellement et les cris de Babeth qui jouissait à n’en plus finir sous ma langue qui vibrait à toute allure. Elle se laissa aller en arrière sur le capot de la voiture, les jambes pendant le long de l’aile. Je me relevai, mes articulations protestèrent un peu mais je m’en fichais bien. J’envoyai mes t-shirt et pantalon rejoindre sa robe et mon caleçon sa ...