1. On se déshabillera plus tard


    Datte: 24/09/2018, Catégories: fh, hplusag, médical, revede, pénétratio, Humour h+medical, Auteur: Jeff169, Source: Revebebe

    ... la parole, elle m’a pris la queue, s’est mise sur le dos en m’attirant vers elle tout en écartant ses cuisses, les jambes repliées, elle m’a fait rentrer. Tu te rends compte, ma première fois ! C’est rentré tout seul, chaud et doux, comme huilé, je ne savais pas que les femmes étaient comme ça.
    
    Et une petite bouchée de viande avec quelques frittes, j’observe Anne Laure dont le regard est maintenant totalement captivé par son assiette, tout en picorant, comme n’ayant pas très faim. Continuons :
    
    — Ensuite, moi qui pensais donner de grands coups de reins, je t’explique, elle imprimait des mouvements de bassin si amples que, sans que je bouge beaucoup, elle me faisait entrer et ressortir complètement. Elle s’est mise alors à gémir, et moi veillant uniquement à ce que ma queue ne ressorte pas, si tu vois le tableau.
    
    Hop, je prends une petite gorgée de Vittel. Le temps pour elle de bien voir le tableau.
    
    — Elle était très musclée - j’invente en songeant malicieusement aux cuisses d’Anne Laure - alors elle arrivait presque à me soulever quand elle s’enfonçait le pénis en avançant le bassin, puis se laissant retomber, elle reculait alors ses fesses en se cambrant, presque à me faire sortir, comme si elle prenait son élan pour le coup de rein suivant. Ça m’a fait tellement d’effet, j’ai joui rapidement.
    
    Cette dernière phrase dite tout bas en avançant la tête, sur un ton de confidence, pour qu’elle avance aussi la sienne. Alors, je laisse quelques instants de silence, ...
    ... pour qu’elle savoure à son aise l’anecdote partagée, tout en s’instruisant de mon goût pour les femmes actives. Peu après, les plats sont terminés, je regarde ma montre, deux heures, il faut que j’y aille !
    
    — Mais je parle, je parle, tu as vu l’heure, tu veux un café ? je demande.
    — Non, ça ira, répond Anne Laure, d’une voix hésitante.
    — On va aller payer, ça ira plus vite.
    
    Sur le trottoir du restaurant, quelques minutes après :
    
    — Au fait, jeudi même endroit même heure, ça te plairait ? demandé-je.
    — Oh oui, répond-elle, radieuse de la proposition.
    — Alors à jeudi !
    
    Je l’embrasse doucement sur une joue, elle me semble brûlante, les commissures des lèvres sont proches. Je suis troublé, m’arrache à l’emprise et pars d’un pas assuré sans me retourner, puis m’évanouis dans la foule. Mon cœur bat, le pas rapide n’est pas la cause, c’est ce baiser léger. Voilà autre chose ! Ressaisis-toi, me dis-je. Après-demain donc, il faut laisser reposer un peu.
    
    Le soir, après la sortie du bureau, je sirote déjà une première bière en attendant Sylvie. Alors, elle apparaît comme une joyeuse abeille qui vient me butiner un petit bisou près des lèvres, subrepticement volé. Sylvie est joliment bien roulée, suite à quelques excès de danse, de natation, d’activités champêtres. Pas très grande, chevelure châtain et tâches de rousseur, la voilà qui pétille au bar, pas vraiment inaperçue, dégageant comme des ondes autour d’elle. Ses tenues vestimentaires sont aléatoires, féminines, ...
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